Le 6 juillet, c’est la Journée mondiale du baiser.
Un geste d’affection, de tendresse, parfois de réconciliation.
Et si on détournait un peu cette journée pour parler d’un autre geste chargé d’amour : l’écriture des histoires familiales ?
Parce que oui, écrire sur ses ancêtres, c’est aussi une forme de baiser.
Un baiser envoyé à travers le temps, un geste symbolique pour dire :
“Je ne t’ai pas connu·e, mais je pense à toi. Tu comptes encore.”
Lorsque j’ai écrit sur mon arrière-grand-père, Augustin, je n’imaginais pas à quel point cette démarche serait intime.
Raconter ses silences, marcher sur ses pas, reconstituer ce qu’il a vécu…
C’était comme le rejoindre un peu, là où il était, lui dire que je ne l’avais pas oublié.
Écrire, ce n’est pas seulement transmettre des faits ou poser des dates.
C’est poser un regard d’amour sur une vie, aussi modeste soit-elle.
C’est donner de la valeur à une existence souvent passée dans l’ombre.
Dans une époque où tout va vite, prendre le temps de raconter la vie d’un ancêtre, de l’imaginer enfant, adulte, vieillard, c’est une démarche profondément humaine.
C’est un acte de tendresse, de soin, de lien.
Comme un baiser discret déposé sur la joue d’un passé qu’on honore.
Vous aussi, vous avez sans doute un prénom dans votre arbre qui vous intrigue,
un silence qui vous questionne,
une photo qui vous touche.
Et si cette Journée du baiser devenait le moment parfait pour vous pencher sur cette personne et lui offrir un peu de votre plume et de votre cœur ?
Vous pourriez commencer par quelques lignes, une anecdote, une lettre…
Un simple baiser d’encre.
Mon livre, c’est ça au fond :
un long baiser au passé,
à cet homme dont je ne savais rien et que j’ai appris à aimer à travers les mots.
👉 Il est disponible ici : Acheter Pupille
Et si vous avez envie, vous aussi, d’écrire pour transmettre, pour relier, pour aimer…
Foncez. Vos mots ont ce pouvoir.
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