Chaque rentrée apporte son lot de résolutions : reprendre le rythme, se fixer de nouveaux objectifs, peut-être découvrir de nouvelles lectures.
Et si, cette année, vous faisiez un choix différent ?
Au lieu d’un roman de fiction ou d’un polar à la mode, pourquoi ne pas vous plonger dans une histoire vraie, une histoire de famille, une histoire qui résonne avec la mémoire et les silences ?
C’est exactement ce que je vous propose avec mon livre Pupille.
Dans ma famille, personne n’avait entendu parlé de mon arrière-grand-père, Augustin, comme si son existence avait été effacée.
Les seules choses que je savais de lui tenaient en une phrase : il avait été herboriste, puis opticien-lunetier à Castelsarrasin. Rien de plus.
Pas d’anecdotes, pas de souvenirs transmis. Seulement ce vide, comme une absence trop lourde pour être évoquée.
C’est ce silence qui m’a donné envie de chercher, d’enquêter, d’écrire.
Je me suis lancée dans une enquête personnelle. J’ai fouillé les archives, interrogé les documents, croisé les rares indices. Chaque petit détail devenait une piste, chaque hypothèse une porte ouverte sur ce qu’Augustin avait pu vivre.
Peu à peu, mes notes se sont transformées en pages, mes pages en chapitres, et mes chapitres en un livre : Pupille.
Ce livre n’est pas une fiction inventée de toutes pièces : c’est le fruit de mes recherches, de mes doutes, de mes émotions face à ce silence familial.
Écrire Pupille, c’était redonner une voix à Augustin. C’était briser un silence que plusieurs générations avaient choisi de garder.
Bien sûr, Augustin était mon arrière-grand-père. Mais son histoire, je crois, résonne bien au-delà de ma famille.
Nous avons tous, dans nos histoires familiales, des zones d’ombre, des silences, des absences. Un grand-parent dont on ne parle pas. Un secret qui plane sans être dit. Une histoire incomplète qui nous intrigue.
Lire Pupille, c’est plonger dans ma quête personnelle, mais c’est aussi peut-être réveiller quelque chose en vous. C’est vous interroger sur vos propres racines, vos propres silences.
J’ai choisi de publier Pupille en autoédition.
Pourquoi ? Parce que je voulais garder la liberté de raconter cette histoire telle qu’elle devait l’être. Sans contrainte, sans filtre, sans compromis.
L’autoédition, c’est à la fois un défi et une chance.
Un défi, car cela veut dire que je dois tout porter moi-même : l’écriture, la diffusion, la communication.
Mais aussi une chance, car chaque lecteur qui achète le livre devient un soutien direct, une personne qui participe concrètement à faire exister ce projet.
Quand vous achetez Pupille, vous ne soutenez pas seulement une autrice indépendante. Vous participez à un projet plus grand : celui de redonner une voix à une histoire effacée, celui de transmettre une mémoire, celui de transformer une quête intime en patrimoine vivant.
Chaque lecteur devient un maillon essentiel. Chaque personne qui ouvre ce livre fait revivre Augustin. Et à travers lui, toutes ces vies discrètes et silencieuses qui méritent d’être racontées.
Cette rentrée pourrait être l’occasion de lire un roman à suspense ou une comédie légère. Mais elle peut aussi être l’occasion de plonger dans un récit vrai, authentique, qui touche à l’essentiel : la mémoire, la transmission, les silences familiaux.
✨ Avec Pupille, je vous invite à marcher avec moi sur les traces d’Augustin.
✨ À plonger dans une enquête intime qui devient universelle.
✨ À soutenir une autrice en autoédition, qui croit que les histoires vraies méritent elles aussi une place dans vos bibliothèques.
Alors, et si cette rentrée, vous donniez une place à une histoire vraie ?
👉 Découvrez Pupille dès maintenant
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