Quand le voyage donne chair au récit

Écrire une histoire familiale, c’est souvent plonger dans les archives, reconstituer des faits, deviner ce qui n’a pas été dit.
Mais parfois, pour aller plus loin, il faut sortir du papier et marcher sur la terre.

C’est ce que j’ai fait.
J’ai organisé plusieurs voyages pour suivre les traces d’Augustin, mon arrière-grand-père.
J’ai visité les lieux qu’il a traversés, observé les paysages qu’il a vus, ressenti l’ambiance des villages, des rues, des casernes, des campagnes…
J’ai aussi rencontré des personnes qui l’ont connu, ou qui ont connu ceux qui l’ont côtoyé.

Et là, tout a changé.


🌿 Donner chair à un homme

Jusque-là, Augustin était pour moi un nom dans les registres, une fiche matricule, un mystère à résoudre.
Mais marcher sur ses pas, voir ce qu’il a vu, entendre ce qu’il a peut-être entendu, a rendu son histoire plus réelle.
C’était comme si, au fil des kilomètres, il cessait d’être un personnage de papier pour devenir un homme.


💬 Des sensations, des détails, des émotions

Ces voyages m’ont offert ce que les archives ne peuvent pas toujours transmettre :

J’ai pu ajouter au livre des détails sensibles, des impressions, des connexions qui, sans ces marches, seraient restées abstraites.


🤍 Une forme de rencontre

En marchant dans ses pas, j’ai eu l’impression de me rapprocher de lui.
C’était un dialogue silencieux, entre passé et présent, entre lui et moi.
Ces voyages m’ont ancrée dans son histoire, et m’ont aidée à écrire non pas “sur” lui, mais presque “avec” lui.


Marcher dans les pas d’Augustin, c’était un peu marcher à ses côtés.
Et aujourd’hui, c’est ce qui donne à mon livre cette dimension intime et incarnée, que je n’aurais jamais pu créer uniquement derrière un écran.

La vie d’une autrice !

✍️ Être autrice indépendante, c’est jongler avec 10 métiers !

Quand on pense « écrivaine », on imagine souvent quelqu’un penché sur son clavier, inspirée, un thé fumant à côté et les mots qui coulent comme par magie.
(Spoiler : c’est parfois vrai… mais seulement 2 % du temps 😅)

Le reste ? Eh bien, c’est tout un métier multifacette, surtout quand on choisit l’autoédition. Dans mon cas, je n’ai pas une équipe derrière moi… j’ai moi. Et ça donne ça 👇


📝 1. Écrivaine

C’est le cœur du projet. Écrire, relire, réécrire, couper, douter, recommencer…
Mon livre est né de cette envie profonde de transmettre l’histoire de mon arrière-grand-père, pupille de l’État, devenu opticien-herboriste.
Chaque mot, chaque chapitre est passé entre mes mains.


🕵️‍♀️ 2. Chercheuse d’archives

Impossible d’écrire un livre de famille sans plonger dans les registres d’état civil, les fiches matricules, les photos anciennes ou encore les documents poussiéreux oubliés dans un coin de mémoire.
J’ai passé des heures à dénicher des dates, croiser des pistes, comprendre des silences.


🎨 3. Graphiste amateur

Couverture, schémas d’arbres généalogiques, encadrés thématiques…
J’ai créé toute la mise en page moi-même, en essayant de rendre le livre aussi lisible que beau.

Spoiler bis : maîtriser les marges dans un logiciel de mise en page, c’est une épreuve à part entière. 😅


📸 4. Photographe

Toutes les images du livre viennent de moi : documents d’archives numérisés, portraits de famille, détails visuels pour enrichir le récit.
Pas de banque d’image ici, juste du fait maison, comme une bonne recette de grand-mère.


🧐 5. Correctrice (malgré quelques coquillettes…)

Oui, j’ai corrigé mon texte. Plusieurs fois. Avec attention.
Mais la première impression a quand même vu quelques coquilles passer entre les mailles…
Heureusement, merci à vous (chers lecteurs bienveillants) de m’avoir aidée à corriger tout ça pour la deuxième édition !


📦 6. Responsable logistique

Les livres, je les emballe moi-même.
Je fais la queue à La Poste, je colle les étiquettes, je remplis les bordereaux.
Bref, j’ai ajouté “préparatrice de commandes” à mon CV.


💻 7. Webmaster

Tu es en train de lire ces lignes sur mon site ?
C’est moi qui l’ai conçu, mis en page, mis à jour, corrigé, décoré ! (Bon d’accord, développeur web, c’est mon « vrai métier » !)


📲 8. Community manager

Créer les visuels et écrire les posts du blog, répondre aux messages, partager les coulisses, gérer les commentaires…
C’est du temps, de l’énergie, mais c’est aussi un lien précieux avec vous.


💌 9. Service client

Quand tu m’écris pour une question, une remarque, un problème de livraison, c’est moi qui te réponds.
Et j’aime beaucoup cet échange direct avec mes lecteurs.


💛 10. Porteuse de projet

Au final, je suis aussi (et surtout) la tête, le cœur et les tripes derrière ce livre.
Je doute, je stresse, je m’enthousiasme, je suis fière, je me relève.
Je crée. Et je le fais avec passion.


🤍 11. Soutenue, même dans l’ombre

Même si je porte ce projet majoritairement seule, je ne suis jamais vraiment seule.
Autour de moi, il y a ma famille, mes amis, mes proches… Ceux qui lisent mes doutes entre les lignes, qui m’encouragent quand j’ai envie de tout arrêter, qui m’aident à y voir plus clair quand je suis dans le brouillard.

Ils me réconfortent, me tirent vers le haut, calment mes peurs, célèbrent les petites victoires comme les grandes.
Ce livre est le fruit de mon travail, oui, mais aussi de leur présence bienveillante dans l’ombre.
Sans eux, rien n’aurait eu la même saveur. 💛


Pourquoi je vous raconte tout ça ?

Parce qu’au-delà du livre lui-même, il y a une aventure humaine, artisanale, et passionnée.
Être autrice indépendante, ce n’est pas juste publier un texte :
c’est tisser un lien direct avec les lecteurs, en toute transparence, et avec beaucoup de sincérité.

Alors si vous avez envie de découvrir le fruit de ce travail multicasquette, vous pouvez le faire ici :
📚 👉 Découvrir « Pupille »

Et si vous avez un jour envie de vous lancer dans l’écriture et l’autoédition, j’espère que ce témoignage vous donnera l’envie (et le courage) de foncer. 🚀

Créer un livre de famille

📖 Et si vous osiez raconter votre histoire ?

Le 23 avril, on célèbre la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Une belle occasion pour parler d’un livre pas comme les autres : le vôtre.
Pas un roman de fiction, pas une autobiographie d’écrivain…
Un livre de famille, fait de souvenirs, de photos, de silences, d’actes d’état civil, de récits glanés au fil du temps.

Je suis convaincue d’une chose : vous avez une histoire à raconter. Et elle mérite d’être transmise.


💡La transmission, ce n’est pas une affaire de spécialistes

On pense parfois qu’il faut être écrivain, historien ou archiviste pour oser écrire un livre de famille. C’est faux.
Vous avez déjà fait le plus dur : vous êtes allé(e) chercher vos racines. Vous avez peut-être écouté les anciens, lu des lettres, rassemblé des photos. Tout cela, c’est déjà de la matière vivante.

Et même si ce n’est pas « parfait », même si certains trous restent dans l’arbre, ce que vous transmettrez sera précieux.
Parce qu’au fond, un livre de famille, ce n’est pas une œuvre académique. C’est un cadeau. Un acte d’amour.


🚀 Écrire pour transmettre, pas pour impressionner

Quand je vous parle d’écrire, je ne vous parle pas de grandes envolées littéraires ou de mise en page façon roman historique.
Je vous parle de raconter simplement, avec vos mots à vous.

Ce que vos enfants, vos petits-enfants ou vos neveux retiendront, ce ne sont pas les dates impeccables ni les marges alignées au millimètre. Ce qu’ils retiendront, c’est la façon dont vous avez parlé de cette arrière-grand-mère courageuse. Ce que vous avez ressenti en découvrant une photo oubliée. Le lien que vous avez tissé entre les générations.

Et si vous ne savez pas comment commencer, voici ce que je vous conseille :


📌 Mes outils pour vous lancer

Pas besoin de logiciels compliqués. Ce qui compte, c’est d’avoir un espace pour écrire. Vous pouvez utiliser :


✨ Et si vous commenciez aujourd’hui ?

Le plus grand frein, c’est souvent d’oser. De se dire : « Qui suis-je pour écrire ça ? »
Vous êtes la bonne personne. Parce que vous portez cette mémoire. Parce que vous l’avez déjà commencé, ce livre, dans votre tête ou dans vos dossiers.

Alors aujourd’hui, en cette Journée mondiale du livre, je vous pose une question :
Et si c’était le bon moment pour écrire ce que vous avez à transmettre ?


📘 Moi aussi, j’ai osé me lancer.

C’est un livre imparfait. Mais c’est un livre sincère, écrit avec le cœur, pour garder une trace, pour transmettre.
Si cela vous parle, vous pouvez le découvrir ici : Découvrir le livre « Pupille »

Au fil des pages

🧵 En avril, ne te découvre pas d’un fil… mais moi, je les ai tous tirés !

Vous connaissez le dicton : “En avril, ne te découvre pas d’un fil”.
De mon côté, pour écrire mon livre, j’ai fait exactement l’inverse :
j’ai tiré tous les fils possibles — ceux des souvenirs, des archives, des récits oubliés — pour reconstituer une histoire familiale à la fois intime et universelle.


📜 Le fil rouge de mon récit : mon arrière-grand-père

Dans cette aventure, le fil rouge, c’est lui : mon arrière-grand-père.
Un homme au parcours atypique, pupille de l’État devenu opticien-herboriste, dont j’ai voulu retracer la vie, les choix, les silences et les traces laissées derrière lui.

Mais en tirant ce fil, je me suis vite rendu compte que d’autres fils venaient s’y mêler :

Ce récit, c’est donc un tissu de mémoires, un entrelacs d’émotions, de documents d’archives, de suppositions aussi — parce que reconstituer le passé, c’est aussi accepter de broder un peu autour des zones d’ombre.


🧶 Écrire, c’est tricoter des liens

Avec ce livre, j’ai voulu créer du lien :

J’ai tiré les fils, mais vous êtes nombreux à en avoir attrapé un bout avec moi, en lisant, en partageant, en me faisant des retours. Et pour ça, je vous dis MERCI 💛


📚 Et maintenant ?

Le livre est là. Le fil est tendu, prêt à être déroulé.
Et si vous voulez découvrir cette histoire, ou simplement vous laisser porter par une enquête humaine et touchante, vous pouvez encore le commander ici :
👉 Commander « Pupille »


💬 Et vous, quel est le fil rouge de votre histoire familiale ?

Partagez-le en commentaire, ou commencez à le tirer doucement… on ne sait jamais jusqu’où il peut vous mener. 😉


En avril, ne te découvre pas d’un fil ? Trop tard pour moi : je les ai tous tirés, et je n’en regrette aucun. 🧵📖✨

Deuxième impression !

📚 La deuxième impression est là ! Merci pour votre aide précieuse

Grande nouvelle : la deuxième impression de mon livre est arrivée ! 🎉
Corrigée, peaufinée, relue (et encore relue), elle est enfin entre mes mains… et bientôt entre les vôtres !


💛 Une version améliorée grâce à vous

Après la première impression, j’ai reçu de nombreux retours bienveillants. Certains d’entre vous m’ont signalé quelques coquilles et maladresses avec patience, humour et beaucoup de gentillesse.

Chaque remarque a été lue, notée, intégrée (et parfois accompagnée d’un petit sourire en coin 😅). Grâce à vous, j’ai pu corriger ce qui devait l’être et offrir au livre une version encore plus aboutie.

Un immense MERCI à toutes celles et ceux qui ont participé, de près ou de loin, à cette relecture collective. 🙏
👉 Découvrez les témoignages des premières lectures


✍️ Ce qui change dans cette nouvelle impression

Bref, même livre, mais en version “level up” !


🎯 Pour les nouveaux lecteurs

Si tu n’as pas encore découvert ce livre, c’est le moment parfait pour te lancer !
Tu peux en savoir plus ici 👉 “Livre version corrigée

Et si tu veux lire les coulisses de la première impression et tout ce que j’ai appris sur le chemin, c’est par là 👉 “Livre avec des coquillettes


📬 Déjà commandé ?

Si tu fais partie des premiers lecteurs, encore une fois : merci infiniment. C’est grâce à toi que ce projet continue d’évoluer !


Merci d’être là, de suivre ce projet, et de le faire grandir avec moi.
Belle lecture à toutes et tous, et à très bientôt pour la suite !

Écriture et autoédition : Comment j’ai surmonté le syndrome de l’imposteur

Lancer son propre livre en autoédition, c’est une aventure passionnante, mais aussi un véritable ascenseur émotionnel. Entre l’enthousiasme du projet, l’excitation de voir ses mots prendre vie et… cette petite voix intérieure qui murmure : « Mais qui suis-je pour écrire un livre ? »

Si vous aussi, vous avez déjà ressenti ce doute, rassurez-vous : le syndrome de l’imposteur est un passage presque obligé pour tout auteur qui se lance. Aujourd’hui, je vous partage mon expérience et comment j’ai réussi à dépasser cette peur pour enfin publier mon livre.


📖 L’écriture et l’autoédition, un saut dans l’inconnu (et dans mes doutes)

Quand j’ai commencé à écrire Pupille, j’étais animée par une seule chose : l’envie de raconter une histoire qui me tenait à cœur. Dans mon cas, il s’agissait d’une enquête généalogique sur mon arrière-grand-père.

Mais au fil des pages, un autre sentiment est apparu : l’angoisse de ne pas être « légitime ». Après tout, je ne suis ni historienne, ni écrivaine de métier et je ne l’ai même jamais connu… alors qui allait vouloir lire mon livre ?

Les pensées classiques du syndrome de l’imposteur s’invitaient à chaque étape :
« Je ne suis pas une experte »
« Mon écriture n’est pas assez bonne »
« D’autres ont sûrement mieux fait avant moi »

Plusieurs fois, je me suis dit « j’abandonne »… mais j’ai décidé de ne pas me laisser submerger !


💡 Ce qui m’a aidée à surmonter le syndrome de l’imposteur

1. Me rappeler pourquoi j’écris ✍️
Avant de me demander « Suis-je légitime ? », j’ai recentré mon attention sur la question essentielle : « Pourquoi ai-je envie d’écrire ce livre ? »

Je voulais partager une histoire qui n’avait jamais été racontée, un pan de ma propre famille que personne ne connaissait encore. Et ça, personne d’autre ne pouvait le faire à ma place.

Votre histoire est unique, et c’est déjà une raison suffisante pour l’écrire.


2. Accepter que la perfection n’existe pas 🎭
Au début, je voulais un livre sans la moindre imperfection. Un récit fluide, sans faute, avec un style impeccable… mais cette quête de perfection m’empêchait d’avancer.

Finalement, j’ai compris que le plus important, c’est d’écrire. On ne devient pas écrivain du jour au lendemain, et chaque projet est une étape vers la progression.

Mieux vaut un livre imparfait qui existe, qu’un livre parfait qui existe uniquement dans notre tête !


3. M’entourer des bonnes personnes 🤝
Publier son livre en autoédition peut sembler solitaire, mais il ne faut pas hésiter à demander des avis et du soutien.

J’ai eu la chance de rejoindre un groupe d’écriture, où d’autres auteurs partageaient les mêmes doutes que moi. Ça m’a aidée à réaliser que personne ne se sent totalement légitime au début, et que c’est normal de douter.

S’entourer d’autres écrivains ou de bêta-lecteurs bienveillants, ça change tout !


4. Me rappeler qu’il y aura toujours un lecteur pour mon livre 👀
On a souvent peur du regard des autres : « Et si personne ne s’y intéressait ? »

Mais j’ai vite compris que chaque livre trouve son public. Peut-être que mon livre ne parlera pas à tout le monde, mais il touchera forcément les bonnes personnes : celles qui partagent ma passion pour la généalogie et l’histoire.

On n’écrit pas pour plaire à tout le monde, mais pour parler à ceux qui en ont besoin.


🚀 Et si vous osiez, vous aussi ?

Aujourd’hui, je suis fière d’avoir surmonté mes doutes et d’avoir publié mon livre. Est-il parfait ? Non. Mais il existe. Et il est le fruit d’une aventure que je ne regrette pas une seule seconde !

Si vous aussi, vous ressentez ce fameux syndrome de l’imposteur, dites-vous une chose :
💡 Ce n’est pas parce que vous doutez que vous n’êtes pas légitime.

Alors, osez écrire, osez partager votre histoire. Le monde a besoin de récits comme le vôtre. 💛


💬 Et vous ?

Avez-vous déjà ressenti le syndrome de l’imposteur en écrivant un projet ? Comment l’avez-vous surmonté ? Partagez vos expériences en commentaire ! 😊👇

Les femmes dans mon livre

Écrire l’histoire familiale : un acte de mémoire et de reconnaissance

Mon premier livre « Pupille » est principalement focalisé sur mon arrière-grand-père, un homme dont la vie m’a profondément marquée. Pourtant, en me plongeant dans son histoire, j’ai réalisé à quel point la présence des femmes était omniprésente, même si elles restaient dans l’ombre des archives officielles.

Finalement, même en écrivant l’histoire d’un homme, c’est toute une constellation de femmes qui apparaît en filigrane.


En tant que femme, je continue cet héritage

D’abord, en écrivant mon histoire familiale en tant que femme, je prolonge la mémoire de mes ancêtres à travers ma plume, poursuivant ainsi leur héritage tout en y ajoutant ma propre voix.

Et puis, pour un futur projet d’écriture, j’aimerais donner voix aux femmes de mon arbre généalogique. En racontant leurs parcours, je souhaite reconnaître l’impact de leurs choix, souvent passés sous silence. Célébrer leur force discrète, leur résilience et leurs rêves inavoués, c’est ma façon de leur rendre hommage. À travers mes mots, j’espère briser le silence de l’Histoire et faire résonner leurs voix oubliées.


Conseils pour écrire l’histoire des femmes de votre famille ✍️

Si vous aussi vous souhaitez mettre en lumière les femmes de votre généalogie, voici quelques conseils pour vous aider à libérer votre plume avec confiance :

  1. Cherchez entre les lignes : Les femmes sont souvent mentionnées en arrière-plan (comme mères, épouses, filles). Essayez de reconstituer leur vie à partir des petits détails glanés dans les archives.
  2. Rendez hommage à leurs rôles multiples : Mères, travailleuses, résistantes, gardiennes de la mémoire… Mettez en avant leurs contributions invisibles mais essentielles.
  3. Contextualisez leur vie : Reliez leur parcours à l’histoire des femmes de leur époque. Cela donnera de la profondeur à votre récit.
  4. Donnez-leur une voix : Imaginez leurs émotions, leurs pensées, leurs espoirs. Cela rendra votre récit plus humain et plus vivant.
  5. Écrivez avec bienveillance : Leurs choix étaient souvent limités par les conventions sociales de leur temps. Racontez leur histoire avec empathie et respect.

Libérez votre plume et valorisez votre héritage féminin !

Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, j’ai envie de vous encourager à écrire votre histoire familiale avec confiance.
Qu’il s’agisse de vos ancêtres féminines ou de votre propre parcours, vos récits méritent d’être racontés et transmis.

Alors, qu’attendez-vous pour vous lancer ? 📚✨
Prenez votre plume, ouvrez vos archives, et faites résonner les voix de celles et ceux qui vous ont précédées.


À toutes les femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain… Bonne Journée Internationale des Droits des Femmes ! ❤️🎉

Pourquoi j’ai choisi un livre pour parler de ma généalogie ?

C’est une question que l’on me pose régulièrement alors j’ai décidé de vous y répondre à travers cet article 🤓

📖🌳La généalogie, c’est bien plus que des dates et des noms alignés sur un arbre. C’est l’histoire de nos ancêtres, de leurs vies, de leurs choix, et de leur héritage. Quand j’ai commencé à explorer mon histoire familiale, j’ai très vite ressenti le besoin de transmettre ces découvertes. Mais comment partager ces trésors avec ma famille de manière accessible et captivante ?

Après réflexion, la réponse s’est imposée à moi : le livre. Mais pourquoi ce format plutôt qu’un site web, un blog, ou une vidéo ? Voici 5 bonnes raisons qui expliquent pourquoi le livre s’est révélé être le meilleur choix pour raconter ma généalogie.


1. Un format accessible à toutes les générations 📖👵👶

Un livre, ça se feuillette à tout âge. Que ce soit :

En choisissant le format papier, j’ai voulu réunir toutes les générations autour de notre histoire familiale, sans barrières technologiques.


2. Partager les archives en un seul endroit 📜📸

Lorsque l’on fait des recherches généalogiques, on accumule une montagne d’archives :

Plutôt que de laisser ces documents se perdre dans des dossiers numériques ou des boîtes poussiéreuses, j’ai voulu les rassembler dans un livre. Cela permet :

Un livre devient alors un véritable album de famille, où chaque page raconte une partie de notre histoire commune.


3. Illustrer avec des schémas et encadrés explicatifs 🖼️📊

Un des grands avantages du livre, c’est la possibilité d’intégrer :

Cela rend la lecture plus ludique et pédagogique, permettant à chacun de suivre facilement les récits, même s’il n’est pas habitué aux recherches généalogiques.


4. Relier la petite histoire à la grande Histoire 🕰️🌍

L’un des défis de la généalogie, c’est de placer la vie de nos ancêtres dans le contexte historique de leur époque. En choisissant le livre comme support, j’ai pu :

Cela permet de comprendre les choix de vie de nos ancêtres : migrations, changements de métier, engagements politiques… Leur histoire devient alors plus vivante et plus significative.


5. Un héritage durable à transmettre 📚💌

Un livre, ça ne vieillit pas. Contrairement aux fichiers numériques, il ne dépend pas de la technologie pour être lu. C’est un objet tangible, que l’on peut transmettre de génération en génération.

En écrivant ce livre, j’ai voulu laisser :


📖 Et vous, pourquoi ne pas raconter votre histoire ?

La Journée du Conte approche (le 20 mars), et c’est l’occasion idéale pour vous aussi de transmettre votre histoire familiale. Que ce soit par un livre, un carnet de souvenirs, ou même un album photo, vos découvertes méritent d’être partagées.

N’hésitez pas à laisser un commentaire pour partager votre expérience ou votre envie de vous lancer dans cette aventure généalogique.


Transmettre son histoire familiale, c’est un cadeau pour soi et pour les générations à venir. 💌🌳 Alors, pourquoi attendre ? Prenez votre plume… ou votre clavier, et lancez-vous ! 😊

Impressions & lancement !

Les premières impressions : un lancement un peu (trop ?) rapide, mais une belle leçon

Quand on se lance dans un projet qui nous tient à cœur, on est parfois tellement pressé de le voir aboutir qu’on fonce tête baissée… et qu’on oublie que l’étape de la relecture, c’est un peu comme le dernier bouton à attacher sur une chemise : si on le fait trop vite, on risque de s’en apercevoir trop tard !

Après la première impression et les premières ventes de main en main, ainsi que quelques exemplaires offerts, j’ai commencé à recevoir des retours. Des retours chaleureux, des retours enthousiastes… et des retours sur les coquilles qui s’étaient glissées dans mon texte. Et là, coup dur. Mon moral est tombé dans mes chaussettes. J’avais passé tant de temps sur ce livre et pourtant, certaines erreurs avaient échappé à ma vigilance.


Apprendre à rebondir 💪

Après le choc initial et l’envie passagère d’aller me cacher sous une pile de manuscrits jamais publiés, j’ai pris du recul. Après tout, « il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais ». L’autoédition, c’est un apprentissage en continu, et chaque retour (même ceux qui piquent un peu) est une opportunité de s’améliorer.


Pourquoi je n’ai pas fait de cagnotte participative ?

Beaucoup d’auteurs autoédités passent par des plateformes comme Ulule ou KissKissBankBank, qui permettent de financer un projet grâce aux contributions du public. Ces plateformes fonctionnent sur un principe simple : les contributeurs participent financièrement au projet en échange d’une contrepartie (le livre en avant-première, une dédicace, etc.).

Mais dans mon cas, j’avais les fonds nécessaires pour financer ce premier lancement. Je voulais que ce projet démarre sans attendre, et surtout, je voulais que mon livre soit accessible directement, sans avoir à passer par une longue campagne de financement.


Merci à vous ❤️

Ce que je retiens aujourd’hui, c’est que vous avez été nombreux à me soutenir, malgré les imperfections. Vous avez cru en mon projet, et pour ça, je vous suis infiniment reconnaissante.

📝 Merci à toutes les personnes qui ont acheté mon livre en sachant qu’il contenait encore quelques coquilles. Vous avez non seulement contribué financièrement à ce projet, mais vous m’avez aussi donné la force et la motivation de continuer.

David, Bernard, Mamie, Loïc, Danielle, Florine, Éric, Thomas, Héléna, Michel, Geneviève, Corine, Kévin, Philippe

💌 Merci aussi à toutes celles et ceux qui m’ont fait des retours avec bienveillance. Plutôt que de critiquer, vous avez pris le temps de me signaler les erreurs avec patience et amour. Grâce à vous, je peux continuer de level-up et d’améliorer ce livre pour les futures éditions !


Cette aventure, ce n’est pas juste mon livre, c’est aussi une belle histoire de partage et d’apprentissage. Et je suis fière de la vivre avec vous ! 🚀✨

Pour celles et ceux qui attendent…

Les retours que j’ai reçus sur les coquilles sont en cours de correction, et une nouvelle impression améliorée et peaufinée sera lancée très bientôt ! 📖✨ Merci pour votre patience et votre soutien ! 😊

Mon aventure au sein d’un groupe d’écriture

Un soutien inestimable pour écrire mon livre de famille

Écrire un livre, c’est une belle aventure, mais c’est aussi un sacré défi. On se retrouve souvent seul face à la page blanche, plein de doutes et de questions. Heureusement pour moi, cette aventure ne s’est pas faite seule : j’ai eu la chance de rejoindre un groupe d’écriture qui a transformé mon expérience.


Une découverte inattendue

Tout a commencé par hasard, en feuilletant la Revue française de généalogie. Un petit article mentionnait l’existence d’un groupe d’écriture pour aider les passionnés à transformer leurs recherches en récits familiaux. Curieuse et un peu intimidée, j’ai décidé de tenter l’expérience. C’est ainsi que je suis tombée sur un groupe formidable : trois femmes partageant la même ambition d’écrire leur livre de famille, accompagnées par Marie-Claire, une accompagnatrice aussi compétente que bienveillante.


Un groupe pas comme les autres

Dès la première rencontre, j’ai su que j’étais au bon endroit. Ce groupe n’était pas seulement un espace de travail, mais aussi un cocon rempli de :

Marie-Claire jouait un rôle clé : elle nous guidait avec une pédagogie exceptionnelle, tout en respectant nos rythmes, nos personnalités et nos projets.


Plus qu’un groupe, une famille d’écriture

Ce groupe m’a permis de ne pas être seule dans cette aventure. Ensemble, nous avons partagé nos idées, nos doutes, et nos victoires. Nous avons ri, réfléchi, et proposé nos idées, mais toujours dans une atmosphère d’écoute et de respect.

Grâce à elles, j’ai appris à structurer mes recherches généalogiques, à les transformer en récits captivants, et surtout, à faire confiance à ma voix d’autrice.


Pourquoi rejoindre un groupe d’écriture ?

Si vous êtes tenté(e) par l’idée d’écrire un livre de famille ou tout autre projet d’écriture, je vous encourage vivement à rejoindre un groupe comme celui-ci. Cela change tout :


Je garde un souvenir inoubliable de ces moments passés avec ce groupe extraordinaire. Sans elles, mon livre n’aurait sans doute pas vu le jour, ou pas dans les mêmes conditions. Alors, merci à Marie-Claire, Elisabeth, Christine & Liliane, « mes partenaires d’écriture » , pour cette aventure riche de partage et de bienveillance. 💌

Si vous aussi, vous cherchez un coup de pouce pour écrire votre livre, gardez l’œil ouvert : ces groupes existent, et ils pourraient bien devenir l’élément déclencheur de votre projet. ✍️✨