Quelle belle aventure ! Depuis la publication de mon livre sur l’histoire familiale et la généalogie, il y a maintenant plus de 6 mois, je n’en reviens pas de voir combien vous êtes nombreux à le commander, à le lire et à m’en parler. ❤️
Je voulais prendre un moment pour vous dire merci. Oui, merci à chacun d’entre vous qui soutenez ce projet si personnel.
Quand j’ai décidé de me lancer dans l’écriture de ce livre, je n’avais aucune idée de ce que cela donnerait. J’ai fait tout, toute seule : la recherche, l’écriture, la mise en page, l’emballage, l’expédition… Je me suis même souvent retrouvée avec des piles de cartons autour de moi, à préparer chaque envoi avec soin.
Ce n’est pas un livre parfait, mais c’est un livre sincère, fait avec le cœur et la passion de transmettre. Et aujourd’hui, il continue à se vendre, semaine après semaine. Chaque commande me touche profondément : je me dis qu’il va atterrir dans une famille, sur une table de salon, et peut-être inspirer quelqu’un à raconter sa propre histoire.
Ce qui me rend encore plus heureuse, ce sont vos retours. Chaque fois que vous m’envoyez un message pour me dire ce que le livre vous a apporté, ce que vous avez ressenti, c’est un cadeau. C’est la plus belle récompense de tout ce travail.
J’ai réuni tous les témoignages que vous acceptez de partager publiquement sur une page spéciale :
👉 Page « Vos témoignages »
Je vous invite à la parcourir, c’est un concentré d’émotion et de belles histoires de famille.
Alors oui, mon livre continue de se vendre. Et chaque exemplaire qui part me rappelle pourquoi je l’ai écrit : pour que la mémoire familiale vive, pour que nos histoires ne tombent pas dans l’oubli, et pour que chacun puisse, à son tour, transmettre.
Encore un immense merci pour votre confiance, votre enthousiasme et vos encouragements. Vous êtes formidables. 💛
📘 Mon livre est toujours disponible ici : acheter Pupille
Écrire sur sa famille, c’est souvent un acte d’amour. Mais c’est aussi un terrain sensible, parfois fragile. En cherchant à comprendre et à raconter, on soulève des souvenirs, on dévoile des secrets, on fait revivre des émotions que d’autres auraient préféré taire.
Alors, comment partager une histoire vraie sans trahir sa famille ? Comment rester fidèle à soi-même tout en respectant la mémoire et la sensibilité des autres ?
Voici trois questions essentielles à se poser avant de publier son texte — que ce soit un livre, un blog ou même un simple témoignage.
Avant même de penser à la forme, il est crucial de revenir à l’intention. Pourquoi écris-tu ? Est-ce pour rendre hommage ? Pour comprendre ? Pour témoigner ? Pour guérir ?
Cette première question est la boussole de tout projet d’écriture personnelle.
Si ton objectif est clair et sincère, il te servira de guide pour faire des choix justes. Par exemple, si ton intention est de transmettre la mémoire d’un ancêtre oublié, tu n’auras pas la même approche que si tu veux régler un conflit familial ou témoigner d’un drame vécu.
👉 Demande-toi :
Souvent, clarifier ces points permet d’écrire avec davantage de bienveillance — pour soi et pour les autres.
Écrire une histoire vraie, ce n’est pas tout dire. C’est choisir ce qui est nécessaire à la compréhension et respecter ce qui appartient encore à l’intime.
Certaines vérités peuvent être dites sans dureté, d’autres peuvent être suggérées, d’autres encore devraient peut-être rester entre les lignes.
Si tu évoques des personnes encore vivantes, pose-toi la question du regard des proches : comment se sentiront-ils en lisant ce passage ? Est-ce que ton texte risquerait de les blesser inutilement ?
Tu peux parfois changer un prénom, modifier un détail, déplacer un lieu — sans trahir la vérité profonde de ton récit.
👉 Ce n’est pas mentir, c’est protéger.
Car la vérité d’un écrivain n’est pas un dossier d’archives : c’est un regard personnel, une interprétation sensible.
Si tu sens que certains passages risquent de susciter de la gêne ou de la colère, tu peux aussi :
L’écriture n’impose pas, elle propose un regard.
Une fois publiée, ton histoire devient publique. Elle circule, elle éveille des réactions, parfois inattendues. Certains y verront de la beauté, d’autres de la douleur, d’autres encore une trahison.
Il faut en être conscient avant de franchir le pas.
Écrire une histoire vraie, c’est un peu comme confier une part de soi au monde. Et cela demande du courage.
Mais c’est aussi une manière de transformer quelque chose de personnel en expérience universelle : en racontant ton histoire, tu touches ceux qui, peut-être, ont vécu quelque chose de similaire.
👉 Pose-toi donc cette dernière question : “Suis-je prêt(e) à laisser les autres lire ma vérité, même s’ils ne la comprennent pas totalement ?”
Si la réponse est oui, alors tu es prêt(e).
Et si la réponse est encore un peu hésitante, c’est normal aussi. Parfois, il faut du temps. Le temps de relire, de laisser reposer, d’en parler à quelqu’un de confiance.
La publication n’est pas une course : c’est un aboutissement.
Écrire sur sa famille, c’est marcher sur une ligne fine, entre authenticité et discrétion. Mais ce n’est pas une contradiction : c’est un équilibre à construire.
Souviens-toi que ton rôle d’auteur n’est pas de juger, mais de raconter avec justesse.
Tu peux être honnête sans être brutal, sincère sans être impudique.
Ce qui compte, c’est la vérité du cœur, pas celle des registres.
Et surtout, n’oublie pas que chaque histoire racontée avec respect devient une forme d’hommage.
C’est ainsi qu’on honore les siens : non pas en les idéalisant, mais en les regardant avec humanité.
Avant de publier, prends le temps de te poser ces trois questions :
Ces quelques réflexions t’aideront à écrire avec sérénité, et à transformer ton expérience personnelle en un récit sincère et juste.
Car écrire une histoire vraie sans trahir sa famille, c’est avant tout un acte de respect — pour soi, pour les autres, et pour la mémoire que l’on porte.
Quelques jours après la Toussaint, nos pensées se tournent naturellement vers celles et ceux qui nous ont précédés. Cette période de recueillement est souvent l’occasion de fleurir les tombes, de se souvenir, mais aussi de réfléchir à ce que signifie honorer nos ancêtres. Pour moi, cet hommage a pris une forme particulière : l’écriture d’un livre, Pupille, consacré à mon arrière-grand-père, un enfant abandonné devenu herboriste et lunetier à Castelsarrasin.
Quand j’ai commencé cette aventure, je ne savais presque rien de lui. Il n’était qu’un nom sur un arbre généalogique, une simple ligne dans un registre. Pourtant, en feuilletant les archives, en suivant les traces de sa vie, j’ai peu à peu découvert un destin singulier — celui d’un orphelin de la Troisième République, abandonné dès la naissance, qui parvient à se construire une vie digne et respectée.
Cette recherche est devenue une véritable enquête familiale, menée entre émotions et découvertes. Chaque acte, chaque document m’apportait une pièce du puzzle. Parfois, je tombais sur des silences, des zones d’ombre. Parfois, au contraire, une information anodine ouvrait la porte sur tout un pan de sa vie.
Ce qui m’a profondément marquée, c’est le contraste entre les débuts tragiques de son histoire et la force qu’il a su déployer pour s’élever. Mon arrière-grand-père, pupille de l’assistance publique, a trouvé dans le travail et la curiosité les clés de son émancipation.
Il est devenu herboriste et lunetier, deux métiers à la croisée de la science et du soin, dans une petite ville du Tarn-et-Garonne : Castelsarrasin.
Découvrir cela a été un choc, mais aussi une fierté. Derrière ce parcours, j’ai perçu une incroyable résilience, un désir de s’ancrer dans la société malgré le poids d’un passé difficile.
Écrire Pupille, c’était d’abord pour moi une façon de comprendre. Comprendre d’où je viens, comprendre comment l’histoire de ma famille s’est tissée au fil des générations.
Mais très vite, l’écriture est devenue un acte de transmission. Car raconter cette histoire, c’est aussi la sauver de l’oubli.
Chaque mot posé sur le papier m’a rapprochée de lui. J’ai ressenti tour à tour la tristesse d’un abandon, la tendresse d’une reconnaissance retrouvée, la joie de voir un ancêtre sortir de l’ombre. Au fil des pages, j’ai appris à le connaître, à lui donner une voix, une existence, une place dans ma mémoire et celle de mes proches.
La Toussaint nous rappelle que la mémoire ne se limite pas aux fleurs déposées sur une tombe. Honorer nos ancêtres, c’est aussi raconter leurs vies, leurs luttes, leurs rêves.
C’est transmettre à nos enfants non pas seulement des noms et des dates, mais des histoires humaines, pleines de courage et d’émotion.
En écrivant Pupille, j’ai compris que la généalogie n’est pas qu’une affaire de recherche documentaire : c’est une rencontre intime avec ceux qui nous ont précédés. C’est une façon de leur dire « merci », de les faire vivre encore, à travers nos mots.
Depuis la publication du livre, les échanges avec les lecteurs m’ont montré que cette histoire personnelle résonne bien au-delà de ma famille. Beaucoup m’ont confié avoir eux aussi ressenti ce besoin de retrouver un ancêtre oublié, de comprendre leurs origines.
Cela me touche profondément, car c’est exactement ce que je voulais partager : l’idée que chaque vie, même modeste, mérite d’être racontée.
Pupille n’est donc pas seulement un hommage à mon arrière-grand-père, c’est aussi une invitation : celle d’ouvrir les archives, de tendre l’oreille au passé, et de redonner une place à ceux qui ont construit nos racines.
À travers ce livre, j’ai découvert que la mémoire familiale est un héritage vivant. Elle ne se résume pas à des souvenirs figés, mais se nourrit des récits que nous partageons.
Alors, en cette période de Toussaint, je t’invite à toi aussi, à honorer tes ancêtres : en écrivant, en racontant, en transmettant.
Car c’est ainsi que nous faisons vivre leur mémoire — et, peut-être, que nous apprenons un peu mieux qui nous sommes.
Pupille est un récit d’enquête familiale, entre histoire vraie et mémoire intime.
À travers les archives, les silences et les émotions, j’y retrace la vie de mon arrière-grand-père, un enfant abandonné devenu herboriste et lunetier à Castelsarrasin.
Ce livre parle de filiation, de résilience et de la force des origines.📖 Découvre le livre et son histoire sur la boutique de l’écrit de famille
Écrire, c’est bien plus qu’un simple acte créatif. C’est un voyage intérieur, une manière d’apprivoiser ses émotions et de donner du sens à son histoire. Quand on parle de santé mentale, l’écriture joue un rôle essentiel : elle permet de poser des mots sur des vécus parfois enfouis, de libérer ce qui pèse et d’apaiser ce qui blesse.
En généalogie, cette démarche prend une dimension particulière. Chaque famille porte en elle des récits, des blessures, des joies, des secrets. Les coucher sur le papier, c’est non seulement leur donner une voix, mais aussi se réconcilier avec le passé. L’écriture devient alors une passerelle entre mémoire et guérison.
Écrire, c’est structurer ses pensées, revisiter ses souvenirs, relier les points épars d’une histoire familiale. Ce processus aide à comprendre comment certaines expériences, croyances ou peurs se sont transmises au fil des générations.
Quand tu racontes ton histoire, tu transformes la douleur en compréhension. Tu reprends la main sur ton récit. Et souvent, cette mise à distance permet de se libérer de ce qui ne t’appartient plus : les non-dits, les schémas familiaux, les colères anciennes.
Cette forme d’écriture introspective ne demande aucun talent particulier. Il suffit d’un carnet, d’un stylo et d’un peu de silence intérieur. L’important, c’est d’écrire sans jugement, avec sincérité.
Nos racines familiales façonnent notre identité. Parfois, elles nourrissent, parfois elles pèsent. Les comprendre, c’est déjà commencer à se comprendre soi-même. L’écriture offre un espace sûr pour explorer cet héritage.
En retraçant la vie de nos ancêtres, on découvre des parallèles surprenants : une même passion, une même peur, un rêve transmis sans qu’on le sache. Ces échos du passé rappellent que nous sommes le fruit d’une longue lignée de vies, de choix et de destins.
Quand j’ai entrepris d’écrire le livre sur mon arrière-grand-père, je ne m’attendais pas à vivre un tel bouleversement intérieur. Ce projet, au départ purement historique, s’est transformé en véritable thérapie.
Plonger dans son histoire m’a permis de mieux comprendre la mienne. J’ai découvert un homme mystérieux, marqué par son époque, mais aussi des émotions, des blessures et des silences que je portais, sans en être consciente.
Au fil des pages, j’ai ressenti une forme de réconciliation. Réconciliation avec lui, avec ma famille, et avec certaines parts de moi-même. Ce travail d’écriture a été une rencontre : celle d’un ancêtre que je croyais connaître, et celle d’une part intime de mon identité.
L’écriture a ce pouvoir extraordinaire de transformer la mémoire en matière vivante. Elle ne se limite pas à la recherche généalogique ; elle devient une manière de se relier aux générations passées et futures.
Tu peux commencer simplement :
Petit à petit, ton récit prendra forme, et tu verras qu’il parlera autant de ta famille que de toi.
En cette Journée mondiale de la santé mentale, prends un moment pour toi. Ouvre un cahier, allume ton ordinateur, et commence à écrire. Peu importe la forme ou le style : ce qui compte, c’est le cheminement intérieur que cette écriture initie.
Tu verras, écrire ton histoire familiale, c’est un peu comme allumer une lumière dans les recoins du passé. On y trouve de la douceur, de la force, et parfois une paix inattendue.
Et si tu veux découvrir comment cette démarche a pris vie dans mon propre parcours, je t’invite à lire mon livre consacré à mon arrière-grand-père, « Pupille ». C’est un récit à la croisée de la mémoire, de l’émotion et de la transmission — une preuve d’écriture naît du cœur !
Chaque 21 septembre, la Journée internationale de la paix nous invite à réfléchir sur ce que nous laissons derrière nous. Et si le plus beau legs que nous pouvions transmettre à nos enfants, petits-enfants, nos parents, nos cousins, n’était pas seulement un arbre généalogique rempli de dates, mais surtout une histoire apaisée ?
La mémoire familiale est parfois marquée par des blessures, des silences ou des conflits. Pourtant, faire la paix avec son passé et le partager en toute sincérité peut devenir un véritable cadeau pour les générations futures.
Lorsque j’ai commencé mes recherches généalogiques, je cherchais avant tout des noms et des dates. Rapidement, je me suis aperçu que derrière chaque acte se cachait une histoire.
En retrouvant ces éléments, j’ai compris que mon rôle n’était pas seulement de collecter des informations, mais aussi de leur donner du sens.
Un des pas les plus importants dans ce cheminement a été de tendre la main aux anciens. Poser des questions, écouter leurs récits, parfois entrecoupés de silences… Ce n’est pas toujours simple.
Au début, certains souvenirs faisaient mal. Mais j’ai découvert que, petit à petit, la parole libère et apaise. Ce que je croyais être des secrets douloureux devenait souvent des leçons de vie.
👉 Astuce : n’attendez pas. Les anciens sont les gardiens d’une mémoire vivante. Même une anecdote banale peut devenir précieuse pour comprendre l’esprit d’une époque.
À force de recherches et de discussions, j’ai fait de véritables découvertes qui m’ont bouleversée, mais surtout, elles m’ont permis de transmettre une histoire familiale plus humaine et nuancée, loin des légendes ou des non-dits.
Raconter une histoire familiale ne signifie pas l’idéaliser. Cela veut dire regarder le passé en face, comprendre les blessures, mais aussi reconnaître la résilience et la force qui s’y trouvent.
Pour moi, transmettre une histoire apaisée, c’est :
Cette démarche permet aux plus jeunes de ne pas hériter de rancunes ou de silences lourds à porter, mais au contraire de recevoir un héritage de sérénité.
À l’occasion de la Journée internationale de la paix, je crois profondément que chacun de nous peut devenir artisan de paix dans sa propre famille, pas besoin de grands gestes :
Ces petits pas construisent une mémoire commune plus juste et plus apaisée.
Ce cheminement, je l’ai vécu personnellement. En menant mes recherches, en posant des questions, en osant affronter certains silences, j’ai trouvé une paix intérieure que je ne soupçonnais pas.
Et surtout, j’ai souhaité la partager. C’est ainsi qu’est né mon livre, dans lequel je raconte comment j’ai transmis ma propre histoire. Écrire a été pour moi un acte libérateur, mais aussi un pont tendu vers mes proches.
👉 Découvrez mon livre ici, un témoignage sur la mémoire familiale et l’importance de transmettre un héritage de paix.
La Journée internationale de la paix nous rappelle que la paix commence à petite échelle, souvent dans nos familles. En cherchant, en écoutant, en racontant, nous avons le pouvoir de transformer notre héritage en une histoire apaisée.
C’est peut-être le plus beau cadeau que nous puissions offrir aux générations à venir.
Chaque rentrée apporte son lot de résolutions : reprendre le rythme, se fixer de nouveaux objectifs, peut-être découvrir de nouvelles lectures.
Et si, cette année, vous faisiez un choix différent ?
Au lieu d’un roman de fiction ou d’un polar à la mode, pourquoi ne pas vous plonger dans une histoire vraie, une histoire de famille, une histoire qui résonne avec la mémoire et les silences ?
C’est exactement ce que je vous propose avec mon livre Pupille.
Dans ma famille, personne n’avait entendu parlé de mon arrière-grand-père, Augustin, comme si son existence avait été effacée.
Les seules choses que je savais de lui tenaient en une phrase : il avait été herboriste, puis opticien-lunetier à Castelsarrasin. Rien de plus.
Pas d’anecdotes, pas de souvenirs transmis. Seulement ce vide, comme une absence trop lourde pour être évoquée.
C’est ce silence qui m’a donné envie de chercher, d’enquêter, d’écrire.
Je me suis lancée dans une enquête personnelle. J’ai fouillé les archives, interrogé les documents, croisé les rares indices. Chaque petit détail devenait une piste, chaque hypothèse une porte ouverte sur ce qu’Augustin avait pu vivre.
Peu à peu, mes notes se sont transformées en pages, mes pages en chapitres, et mes chapitres en un livre : Pupille.
Ce livre n’est pas une fiction inventée de toutes pièces : c’est le fruit de mes recherches, de mes doutes, de mes émotions face à ce silence familial.
Écrire Pupille, c’était redonner une voix à Augustin. C’était briser un silence que plusieurs générations avaient choisi de garder.
Bien sûr, Augustin était mon arrière-grand-père. Mais son histoire, je crois, résonne bien au-delà de ma famille.
Nous avons tous, dans nos histoires familiales, des zones d’ombre, des silences, des absences. Un grand-parent dont on ne parle pas. Un secret qui plane sans être dit. Une histoire incomplète qui nous intrigue.
Lire Pupille, c’est plonger dans ma quête personnelle, mais c’est aussi peut-être réveiller quelque chose en vous. C’est vous interroger sur vos propres racines, vos propres silences.
J’ai choisi de publier Pupille en autoédition.
Pourquoi ? Parce que je voulais garder la liberté de raconter cette histoire telle qu’elle devait l’être. Sans contrainte, sans filtre, sans compromis.
L’autoédition, c’est à la fois un défi et une chance.
Un défi, car cela veut dire que je dois tout porter moi-même : l’écriture, la diffusion, la communication.
Mais aussi une chance, car chaque lecteur qui achète le livre devient un soutien direct, une personne qui participe concrètement à faire exister ce projet.
Quand vous achetez Pupille, vous ne soutenez pas seulement une autrice indépendante. Vous participez à un projet plus grand : celui de redonner une voix à une histoire effacée, celui de transmettre une mémoire, celui de transformer une quête intime en patrimoine vivant.
Chaque lecteur devient un maillon essentiel. Chaque personne qui ouvre ce livre fait revivre Augustin. Et à travers lui, toutes ces vies discrètes et silencieuses qui méritent d’être racontées.
Cette rentrée pourrait être l’occasion de lire un roman à suspense ou une comédie légère. Mais elle peut aussi être l’occasion de plonger dans un récit vrai, authentique, qui touche à l’essentiel : la mémoire, la transmission, les silences familiaux.
✨ Avec Pupille, je vous invite à marcher avec moi sur les traces d’Augustin.
✨ À plonger dans une enquête intime qui devient universelle.
✨ À soutenir une autrice en autoédition, qui croit que les histoires vraies méritent elles aussi une place dans vos bibliothèques.
Alors, et si cette rentrée, vous donniez une place à une histoire vraie ?
👉 Découvrez Pupille dès maintenant
L’été touche à sa fin, les agendas se remplissent, les bonnes résolutions refont surface…
Et peut-être qu’au fond de toi, une petite voix te dit qu’il est temps d’écrire cette histoire familiale qui te trotte dans la tête depuis un moment.
💬 Tu as déjà fait des recherches ?
📸 Tu as des photos, des anecdotes, des archives ?
🧠 Tu sens que c’est important, mais tu ne sais pas par où commencer ?
Alors cette rentrée est peut-être le bon moment pour transformer cette idée en projet concret.
Voici quelques conseils pour te lancer sereinement :
Tu n’as pas besoin d’un plan parfait ou de connaître toute ta lignée depuis le Moyen Âge.
💡 Commence par une personne. Une époque. Une histoire qui te touche.
Un ancêtre en particulier ? Un événement marquant ? Un objet qui a traversé les générations ?
L’objectif n’est pas d’écrire un chef-d’œuvre littéraire (sauf si tu veux, bien sûr !).
C’est de raconter avec sincérité, avec tes mots à toi.
C’est ce qui fera la richesse et l’émotion de ton récit.
Tu as des actes de naissance ? Une fiche militaire ? Une photo ?
Parfait. Mais ajoute aussi ce que tu ressens en les découvrant.
C’est ce regard personnel qui transformera ton récit en histoire vivante.
Pas besoin d’écrire 200 pages en deux semaines.
👉 1h par semaine, une histoire par mois, ou 10 lignes après chaque repas de famille…
L’important, c’est la régularité. Pas la performance.
L’écriture d’un livre de famille, c’est aussi un moment pour soi.
Pour se reconnecter à ses racines, comprendre d’où l’on vient, et parfois même guérir.
C’est une aventure intérieure autant qu’un travail de mémoire.
J’ai moi-même écrit un livre sur mon arrière-grand-père, pupille de l’État.
Je n’étais ni historienne, ni écrivaine… juste quelqu’un qui avait besoin de comprendre, et de raconter.
👉 Tu peux le découvrir ici
Et toi, qu’est-ce qui te retient encore ?
Et si cette rentrée était le début de ton histoire ?
On croit souvent que l’histoire familiale, c’est une affaire privée.
Des dates, des anecdotes, quelques photos jaunies dans une boîte à chaussures.
Mais écrire son histoire familiale, ce n’est pas simplement remettre de l’ordre dans un arbre généalogique.
C’est résister à l’oubli.
C’est refuser que les vies passées s’effacent sans un mot.
Des femmes dont on a seulement gardé le nom de jeune fille.
Des enfants abandonnés devenus invisibles.
Des ancêtres oubliés, car “il n’y avait rien d’intéressant à raconter sur eux”.
Mais justement :
écrire sur eux, c’est affirmer qu’ils ont compté.
Qu’ils ne sont pas juste un nom sur un acte ou une case à cocher dans un arbre généalogique.
Quand j’ai commencé à écrire sur mon arrière-grand-père, je voulais d’abord comprendre.
Puis, je me suis rendu compte que ce que je faisais, c’était transmettre.
Une mémoire. Un regard. Un lien entre les générations.
C’était dire : “Tu n’es pas oublié.”
Et à ceux qui lisent aujourd’hui : “Tu viens de quelque part. Tu fais partie d’une histoire.”
Écrire l’histoire familiale, c’est un geste intime et politique à la fois.
C’est tenir tête à l’effacement, avec des mots, des images, de la tendresse.
👉 Ce livre, c’est ma manière de participer à cette mémoire collective.
À découvrir ici : Mon livre Pupille
🗓️ À l’occasion de la Journée internationale de la jeunesse – 12 août
Ils s’appelaient « enfants abandonnés », « enfants assistés », « pupilles de l’État ».
Dans les archives, ils sont souvent réduits à quelques lignes administratives, à une mention froide dans une marge, à une identité en pointillé.
Mon arrière-grand-père était l’un d’eux.
Pour redonner un visage à l’enfant invisible, pour donner une voix à celui dont le début de vie a été effacé, tu.
Mais aussi pour raconter ce que cela laisse, des générations plus tard : des silences dans la mémoire, des questions sans réponse, des manques que l’on ne comprend qu’en creusant l’histoire.
Ce que j’ai découvert au fil de mes recherches, c’est qu’on peut faire parler les archives, même celles qui murmurent à peine.
Et que chaque fragment peut devenir un récit, si on prend le temps de l’écouter.
Écrire sur Augustin, c’était une façon de dire :
“Tu as compté. Ton histoire vaut la peine d’être racontée.”
En cette Journée internationale de la jeunesse, je veux rappeler que certains jeunes n’ont jamais eu l’occasion de laisser une trace.
Mais que nous, aujourd’hui, nous pouvons choisir de les faire revivre à travers les mots.
👉 Mon livre est une manière de réparer un peu ce silence. À découvrir dans la boutique
Avant les pharmacies d’angle et les prescriptions informatisées, il y avait les herbiers de grand-mère, les tisanes de l’arrière-tante, les petits secrets glanés au fil des générations…
Dans mon livre, je rends hommage à cette tradition discrète mais précieuse :
celle des herboristes, des guérisseuses, des amateurs de simples – ces plantes médicinales qu’on cultivait dans les jardins ou qu’on allait cueillir au bord des chemins.
🌱 Mon arrière-grand-père, Augustin, était opticien… et herboriste.
Oui, les deux à la fois ! Une double casquette peu commune, reflet d’un temps où science et savoir populaire cohabitaient.
Dans mon enquête, j’ai retrouvé ses traces… et celles de tout un patrimoine de soins naturels et de remèdes oubliés.
Parce que ces gestes du quotidien – infusions, cataplasmes, recettes de sirops – étaient des savoirs précieux souvent transmis oralement… et trop rarement notés.
Parce que nos ancêtres soignaient avec ce qu’ils avaient sous la main, avec bon sens, observation, intuition.
Et parce que ces savoirs font aussi partie de notre histoire familiale, au même titre que les dates et les noms.
📖 Si ces récits résonnent en vous,
si vous avez des souvenirs d’armoires à plantes, de cueillettes ou de carnets de remèdes…
alors vous trouverez sûrement une résonance dans les pages de mon livre.