Après des mois – parfois des années – de travail acharné, voilà enfin ce moment tant attendu : tenir son livre entre ses mains. Mais si vous pensez que c’est uniquement un moment de joie pure, détrompez-vous et laissez-moi vous raconter l’aventure des premières impressions de « Pupille ».
Aussi minutieux que l’on puisse être, une petite voix dans la tête murmure : « Et s’il y avait encore une coquille cachée ? » Une faute de frappe discrète, un mot oublié, un détail mal aligné… On a beau relire encore et encore, on finit par se demander si on n’est pas devenu légèrement parano. Spoiler alert : il reste des coquilles !
Repasser sur chaque page, chaque paragraphe, chaque ligne… C’est comme réviser pour un examen, sauf qu’ici, c’est votre âme que vous avez mise sur papier. Et croyez-moi, quand vous avez déjà lu votre propre texte 50 fois, même les phrases les plus géniales commencent à ressembler à du charabia.
Le stress de voir son « bébé » prendre son envol peut rendre… légèrement nerveux. Traduction : votre entourage risque d’en payer le prix. Des remarques soudaines, des doutes exprimés à voix haute, et ce classique : « Tu crois vraiment que ça va plaire ? » Heureusement, ils sont là pour nous rassurer (et tolérer nos excès de perfectionnisme).
Mais voilà le moment magique : ouvrir le colis, sortir le livre et sentir son odeur d’impression fraîche. C’est LA récompense de tout ce travail. Une sensation de délivrance, de fierté, et surtout, un énorme « ouf » de soulagement. Vous l’avez fait. C’est là, tangible, réel, votre livre existe.
Écrire un livre, c’est comme courir un marathon émotionnel. Du stress, des doutes, mais aussi une immense satisfaction. Et au-delà de tout ça, ce que je retiens, c’est l’espoir que ce projet touche des gens, les inspire, et les pousse à explorer leur propre histoire.
Si vous vous lancez un jour dans cette aventure, préparez-vous : c’est intense, mais ça vaut chaque effort. Et si ce livre tombe un jour entre vos mains, sachez qu’il a été conçu avec amour, passion, et un peu de sueur. 💌
Alors, à tous ceux qui rêvent d’écrire ou de découvrir leur histoire, n’oubliez jamais : chaque aventure commence par une première page. 📖✨
L’autoédition, c’est un peu comme être un one-man-band littéraire. Vous savez, ces musiciens de rue qui jouent de la guitare, du tambour, et du kazoo en même temps ? Ici, l’auteur écrit, édite, publie, et parfois même livre ses bouquins. Bref, c’est du fait-maison, mais en version « livre de A à Z ».
L’autoédition, c’est un peu comme monter son propre food truck littéraire : vous cuisinez le contenu, servez les lecteurs et faites tout pour qu’ils reviennent pour une deuxième tournée ! 🍔📖 Mais pas de panique : avec de la passion et un brin de débrouillardise, ça devient une aventure aussi enrichissante que captivante. 🚀
Écrire un livre, c’est une belle aventure, mais c’est aussi un sacré défi. On se retrouve souvent seul face à la page blanche, plein de doutes et de questions. Heureusement pour moi, cette aventure ne s’est pas faite seule : j’ai eu la chance de rejoindre un groupe d’écriture qui a transformé mon expérience.
Tout a commencé par hasard, en feuilletant la Revue française de généalogie. Un petit article mentionnait l’existence d’un groupe d’écriture pour aider les passionnés à transformer leurs recherches en récits familiaux. Curieuse et un peu intimidée, j’ai décidé de tenter l’expérience. C’est ainsi que je suis tombée sur un groupe formidable : trois femmes partageant la même ambition d’écrire leur livre de famille, accompagnées par Marie-Claire, une accompagnatrice aussi compétente que bienveillante.
Dès la première rencontre, j’ai su que j’étais au bon endroit. Ce groupe n’était pas seulement un espace de travail, mais aussi un cocon rempli de :
Marie-Claire jouait un rôle clé : elle nous guidait avec une pédagogie exceptionnelle, tout en respectant nos rythmes, nos personnalités et nos projets.
Ce groupe m’a permis de ne pas être seule dans cette aventure. Ensemble, nous avons partagé nos idées, nos doutes, et nos victoires. Nous avons ri, réfléchi, et proposé nos idées, mais toujours dans une atmosphère d’écoute et de respect.
Grâce à elles, j’ai appris à structurer mes recherches généalogiques, à les transformer en récits captivants, et surtout, à faire confiance à ma voix d’autrice.
Si vous êtes tenté(e) par l’idée d’écrire un livre de famille ou tout autre projet d’écriture, je vous encourage vivement à rejoindre un groupe comme celui-ci. Cela change tout :
Je garde un souvenir inoubliable de ces moments passés avec ce groupe extraordinaire. Sans elles, mon livre n’aurait sans doute pas vu le jour, ou pas dans les mêmes conditions. Alors, merci à Marie-Claire, Elisabeth, Christine & Liliane, « mes partenaires d’écriture » , pour cette aventure riche de partage et de bienveillance. 💌
Si vous aussi, vous cherchez un coup de pouce pour écrire votre livre, gardez l’œil ouvert : ces groupes existent, et ils pourraient bien devenir l’élément déclencheur de votre projet. ✍️✨
Quand on se lance dans un projet qui nous tient à cœur, on est parfois tellement pressé de le voir aboutir qu’on fonce tête baissée… et qu’on oublie que l’étape de la relecture, c’est un peu comme le dernier bouton à attacher sur une chemise : si on le fait trop vite, on risque de s’en apercevoir trop tard !
Après la première impression et les premières ventes de main en main, ainsi que quelques exemplaires offerts, j’ai commencé à recevoir des retours. Des retours chaleureux, des retours enthousiastes… et des retours sur les coquilles qui s’étaient glissées dans mon texte. Et là, coup dur. Mon moral est tombé dans mes chaussettes. J’avais passé tant de temps sur ce livre et pourtant, certaines erreurs avaient échappé à ma vigilance.
Après le choc initial et l’envie passagère d’aller me cacher sous une pile de manuscrits jamais publiés, j’ai pris du recul. Après tout, « il n’y a que ceux qui ne font rien qui ne se trompent jamais ». L’autoédition, c’est un apprentissage en continu, et chaque retour (même ceux qui piquent un peu) est une opportunité de s’améliorer.
Beaucoup d’auteurs autoédités passent par des plateformes comme Ulule ou KissKissBankBank, qui permettent de financer un projet grâce aux contributions du public. Ces plateformes fonctionnent sur un principe simple : les contributeurs participent financièrement au projet en échange d’une contrepartie (le livre en avant-première, une dédicace, etc.).
Mais dans mon cas, j’avais les fonds nécessaires pour financer ce premier lancement. Je voulais que ce projet démarre sans attendre, et surtout, je voulais que mon livre soit accessible directement, sans avoir à passer par une longue campagne de financement.
Ce que je retiens aujourd’hui, c’est que vous avez été nombreux à me soutenir, malgré les imperfections. Vous avez cru en mon projet, et pour ça, je vous suis infiniment reconnaissante.
📝 Merci à toutes les personnes qui ont acheté mon livre en sachant qu’il contenait encore quelques coquilles. Vous avez non seulement contribué financièrement à ce projet, mais vous m’avez aussi donné la force et la motivation de continuer.
David, Bernard, Mamie, Loïc, Danielle, Florine, Éric, Thomas, Héléna, Michel, Geneviève, Corine, Kévin, Philippe
💌 Merci aussi à toutes celles et ceux qui m’ont fait des retours avec bienveillance. Plutôt que de critiquer, vous avez pris le temps de me signaler les erreurs avec patience et amour. Grâce à vous, je peux continuer de level-up et d’améliorer ce livre pour les futures éditions !
Cette aventure, ce n’est pas juste mon livre, c’est aussi une belle histoire de partage et d’apprentissage. Et je suis fière de la vivre avec vous ! 🚀✨
Les retours que j’ai reçus sur les coquilles sont en cours de correction, et une nouvelle impression améliorée et peaufinée sera lancée très bientôt ! 📖✨ Merci pour votre patience et votre soutien ! 😊
C’est une question que l’on me pose régulièrement alors j’ai décidé de vous y répondre à travers cet article 🤓
📖🌳La généalogie, c’est bien plus que des dates et des noms alignés sur un arbre. C’est l’histoire de nos ancêtres, de leurs vies, de leurs choix, et de leur héritage. Quand j’ai commencé à explorer mon histoire familiale, j’ai très vite ressenti le besoin de transmettre ces découvertes. Mais comment partager ces trésors avec ma famille de manière accessible et captivante ?
Après réflexion, la réponse s’est imposée à moi : le livre. Mais pourquoi ce format plutôt qu’un site web, un blog, ou une vidéo ? Voici 5 bonnes raisons qui expliquent pourquoi le livre s’est révélé être le meilleur choix pour raconter ma généalogie.
Un livre, ça se feuillette à tout âge. Que ce soit :
En choisissant le format papier, j’ai voulu réunir toutes les générations autour de notre histoire familiale, sans barrières technologiques.
Lorsque l’on fait des recherches généalogiques, on accumule une montagne d’archives :
Plutôt que de laisser ces documents se perdre dans des dossiers numériques ou des boîtes poussiéreuses, j’ai voulu les rassembler dans un livre. Cela permet :
Un livre devient alors un véritable album de famille, où chaque page raconte une partie de notre histoire commune.
Un des grands avantages du livre, c’est la possibilité d’intégrer :
Cela rend la lecture plus ludique et pédagogique, permettant à chacun de suivre facilement les récits, même s’il n’est pas habitué aux recherches généalogiques.
L’un des défis de la généalogie, c’est de placer la vie de nos ancêtres dans le contexte historique de leur époque. En choisissant le livre comme support, j’ai pu :
Cela permet de comprendre les choix de vie de nos ancêtres : migrations, changements de métier, engagements politiques… Leur histoire devient alors plus vivante et plus significative.
Un livre, ça ne vieillit pas. Contrairement aux fichiers numériques, il ne dépend pas de la technologie pour être lu. C’est un objet tangible, que l’on peut transmettre de génération en génération.
En écrivant ce livre, j’ai voulu laisser :
La Journée du Conte approche (le 20 mars), et c’est l’occasion idéale pour vous aussi de transmettre votre histoire familiale. Que ce soit par un livre, un carnet de souvenirs, ou même un album photo, vos découvertes méritent d’être partagées.
N’hésitez pas à laisser un commentaire pour partager votre expérience ou votre envie de vous lancer dans cette aventure généalogique.
Transmettre son histoire familiale, c’est un cadeau pour soi et pour les générations à venir. 💌🌳 Alors, pourquoi attendre ? Prenez votre plume… ou votre clavier, et lancez-vous ! 😊
Mon premier livre « Pupille » est principalement focalisé sur mon arrière-grand-père, un homme dont la vie m’a profondément marquée. Pourtant, en me plongeant dans son histoire, j’ai réalisé à quel point la présence des femmes était omniprésente, même si elles restaient dans l’ombre des archives officielles.
Finalement, même en écrivant l’histoire d’un homme, c’est toute une constellation de femmes qui apparaît en filigrane.
D’abord, en écrivant mon histoire familiale en tant que femme, je prolonge la mémoire de mes ancêtres à travers ma plume, poursuivant ainsi leur héritage tout en y ajoutant ma propre voix.
Et puis, pour un futur projet d’écriture, j’aimerais donner voix aux femmes de mon arbre généalogique. En racontant leurs parcours, je souhaite reconnaître l’impact de leurs choix, souvent passés sous silence. Célébrer leur force discrète, leur résilience et leurs rêves inavoués, c’est ma façon de leur rendre hommage. À travers mes mots, j’espère briser le silence de l’Histoire et faire résonner leurs voix oubliées.
Si vous aussi vous souhaitez mettre en lumière les femmes de votre généalogie, voici quelques conseils pour vous aider à libérer votre plume avec confiance :
Aujourd’hui, à l’occasion de la Journée Internationale des Droits des Femmes, j’ai envie de vous encourager à écrire votre histoire familiale avec confiance.
Qu’il s’agisse de vos ancêtres féminines ou de votre propre parcours, vos récits méritent d’être racontés et transmis.
Alors, qu’attendez-vous pour vous lancer ? 📚✨
Prenez votre plume, ouvrez vos archives, et faites résonner les voix de celles et ceux qui vous ont précédées.
À toutes les femmes d’hier, d’aujourd’hui et de demain… Bonne Journée Internationale des Droits des Femmes ! ❤️🎉
Lancer son propre livre en autoédition, c’est une aventure passionnante, mais aussi un véritable ascenseur émotionnel. Entre l’enthousiasme du projet, l’excitation de voir ses mots prendre vie et… cette petite voix intérieure qui murmure : « Mais qui suis-je pour écrire un livre ? »
Si vous aussi, vous avez déjà ressenti ce doute, rassurez-vous : le syndrome de l’imposteur est un passage presque obligé pour tout auteur qui se lance. Aujourd’hui, je vous partage mon expérience et comment j’ai réussi à dépasser cette peur pour enfin publier mon livre.
Quand j’ai commencé à écrire Pupille, j’étais animée par une seule chose : l’envie de raconter une histoire qui me tenait à cœur. Dans mon cas, il s’agissait d’une enquête généalogique sur mon arrière-grand-père.
Mais au fil des pages, un autre sentiment est apparu : l’angoisse de ne pas être « légitime ». Après tout, je ne suis ni historienne, ni écrivaine de métier et je ne l’ai même jamais connu… alors qui allait vouloir lire mon livre ?
Les pensées classiques du syndrome de l’imposteur s’invitaient à chaque étape :
❌ « Je ne suis pas une experte »
❌ « Mon écriture n’est pas assez bonne »
❌ « D’autres ont sûrement mieux fait avant moi »
Plusieurs fois, je me suis dit « j’abandonne »… mais j’ai décidé de ne pas me laisser submerger !
✅ 1. Me rappeler pourquoi j’écris ✍️
Avant de me demander « Suis-je légitime ? », j’ai recentré mon attention sur la question essentielle : « Pourquoi ai-je envie d’écrire ce livre ? »
Je voulais partager une histoire qui n’avait jamais été racontée, un pan de ma propre famille que personne ne connaissait encore. Et ça, personne d’autre ne pouvait le faire à ma place.
➡ Votre histoire est unique, et c’est déjà une raison suffisante pour l’écrire.
✅ 2. Accepter que la perfection n’existe pas 🎭
Au début, je voulais un livre sans la moindre imperfection. Un récit fluide, sans faute, avec un style impeccable… mais cette quête de perfection m’empêchait d’avancer.
Finalement, j’ai compris que le plus important, c’est d’écrire. On ne devient pas écrivain du jour au lendemain, et chaque projet est une étape vers la progression.
➡ Mieux vaut un livre imparfait qui existe, qu’un livre parfait qui existe uniquement dans notre tête !
✅ 3. M’entourer des bonnes personnes 🤝
Publier son livre en autoédition peut sembler solitaire, mais il ne faut pas hésiter à demander des avis et du soutien.
J’ai eu la chance de rejoindre un groupe d’écriture, où d’autres auteurs partageaient les mêmes doutes que moi. Ça m’a aidée à réaliser que personne ne se sent totalement légitime au début, et que c’est normal de douter.
➡ S’entourer d’autres écrivains ou de bêta-lecteurs bienveillants, ça change tout !
✅ 4. Me rappeler qu’il y aura toujours un lecteur pour mon livre 👀
On a souvent peur du regard des autres : « Et si personne ne s’y intéressait ? »
Mais j’ai vite compris que chaque livre trouve son public. Peut-être que mon livre ne parlera pas à tout le monde, mais il touchera forcément les bonnes personnes : celles qui partagent ma passion pour la généalogie et l’histoire.
➡ On n’écrit pas pour plaire à tout le monde, mais pour parler à ceux qui en ont besoin.
Aujourd’hui, je suis fière d’avoir surmonté mes doutes et d’avoir publié mon livre. Est-il parfait ? Non. Mais il existe. Et il est le fruit d’une aventure que je ne regrette pas une seule seconde !
Si vous aussi, vous ressentez ce fameux syndrome de l’imposteur, dites-vous une chose :
💡 Ce n’est pas parce que vous doutez que vous n’êtes pas légitime.
Alors, osez écrire, osez partager votre histoire. Le monde a besoin de récits comme le vôtre. 💛
Avez-vous déjà ressenti le syndrome de l’imposteur en écrivant un projet ? Comment l’avez-vous surmonté ? Partagez vos expériences en commentaire ! 😊👇
Grande nouvelle : la deuxième impression de mon livre est arrivée ! 🎉
Corrigée, peaufinée, relue (et encore relue), elle est enfin entre mes mains… et bientôt entre les vôtres !
Après la première impression, j’ai reçu de nombreux retours bienveillants. Certains d’entre vous m’ont signalé quelques coquilles et maladresses avec patience, humour et beaucoup de gentillesse.
Chaque remarque a été lue, notée, intégrée (et parfois accompagnée d’un petit sourire en coin 😅). Grâce à vous, j’ai pu corriger ce qui devait l’être et offrir au livre une version encore plus aboutie.
Un immense MERCI à toutes celles et ceux qui ont participé, de près ou de loin, à cette relecture collective. 🙏
👉 Découvrez les témoignages des premières lectures
Bref, même livre, mais en version “level up” !
Si tu n’as pas encore découvert ce livre, c’est le moment parfait pour te lancer !
Tu peux en savoir plus ici 👉 “Livre version corrigée”
Et si tu veux lire les coulisses de la première impression et tout ce que j’ai appris sur le chemin, c’est par là 👉 “Livre avec des coquillettes”
Si tu fais partie des premiers lecteurs, encore une fois : merci infiniment. C’est grâce à toi que ce projet continue d’évoluer !
Merci d’être là, de suivre ce projet, et de le faire grandir avec moi.
Belle lecture à toutes et tous, et à très bientôt pour la suite ! ✨
Vous connaissez le dicton : “En avril, ne te découvre pas d’un fil”.
De mon côté, pour écrire mon livre, j’ai fait exactement l’inverse :
j’ai tiré tous les fils possibles — ceux des souvenirs, des archives, des récits oubliés — pour reconstituer une histoire familiale à la fois intime et universelle.
Dans cette aventure, le fil rouge, c’est lui : mon arrière-grand-père.
Un homme au parcours atypique, pupille de l’État devenu opticien-herboriste, dont j’ai voulu retracer la vie, les choix, les silences et les traces laissées derrière lui.
Mais en tirant ce fil, je me suis vite rendu compte que d’autres fils venaient s’y mêler :
Ce récit, c’est donc un tissu de mémoires, un entrelacs d’émotions, de documents d’archives, de suppositions aussi — parce que reconstituer le passé, c’est aussi accepter de broder un peu autour des zones d’ombre.
Avec ce livre, j’ai voulu créer du lien :
J’ai tiré les fils, mais vous êtes nombreux à en avoir attrapé un bout avec moi, en lisant, en partageant, en me faisant des retours. Et pour ça, je vous dis MERCI 💛
Le livre est là. Le fil est tendu, prêt à être déroulé.
Et si vous voulez découvrir cette histoire, ou simplement vous laisser porter par une enquête humaine et touchante, vous pouvez encore le commander ici :
👉 Commander « Pupille »
Partagez-le en commentaire, ou commencez à le tirer doucement… on ne sait jamais jusqu’où il peut vous mener. 😉
En avril, ne te découvre pas d’un fil ? Trop tard pour moi : je les ai tous tirés, et je n’en regrette aucun. 🧵📖✨
Le 23 avril, on célèbre la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Une belle occasion pour parler d’un livre pas comme les autres : le vôtre.
Pas un roman de fiction, pas une autobiographie d’écrivain…
Un livre de famille, fait de souvenirs, de photos, de silences, d’actes d’état civil, de récits glanés au fil du temps.
Je suis convaincue d’une chose : vous avez une histoire à raconter. Et elle mérite d’être transmise.
On pense parfois qu’il faut être écrivain, historien ou archiviste pour oser écrire un livre de famille. C’est faux.
Vous avez déjà fait le plus dur : vous êtes allé(e) chercher vos racines. Vous avez peut-être écouté les anciens, lu des lettres, rassemblé des photos. Tout cela, c’est déjà de la matière vivante.
Et même si ce n’est pas « parfait », même si certains trous restent dans l’arbre, ce que vous transmettrez sera précieux.
Parce qu’au fond, un livre de famille, ce n’est pas une œuvre académique. C’est un cadeau. Un acte d’amour.
Quand je vous parle d’écrire, je ne vous parle pas de grandes envolées littéraires ou de mise en page façon roman historique.
Je vous parle de raconter simplement, avec vos mots à vous.
Ce que vos enfants, vos petits-enfants ou vos neveux retiendront, ce ne sont pas les dates impeccables ni les marges alignées au millimètre. Ce qu’ils retiendront, c’est la façon dont vous avez parlé de cette arrière-grand-mère courageuse. Ce que vous avez ressenti en découvrant une photo oubliée. Le lien que vous avez tissé entre les générations.
Et si vous ne savez pas comment commencer, voici ce que je vous conseille :
Pas besoin de logiciels compliqués. Ce qui compte, c’est d’avoir un espace pour écrire. Vous pouvez utiliser :
Le plus grand frein, c’est souvent d’oser. De se dire : « Qui suis-je pour écrire ça ? »
Vous êtes la bonne personne. Parce que vous portez cette mémoire. Parce que vous l’avez déjà commencé, ce livre, dans votre tête ou dans vos dossiers.
Alors aujourd’hui, en cette Journée mondiale du livre, je vous pose une question :
Et si c’était le bon moment pour écrire ce que vous avez à transmettre ?
C’est un livre imparfait. Mais c’est un livre sincère, écrit avec le cœur, pour garder une trace, pour transmettre.
Si cela vous parle, vous pouvez le découvrir ici : Découvrir le livre « Pupille »