Vous connaissez le dicton : “En avril, ne te découvre pas d’un fil”.
De mon côté, pour écrire mon livre, j’ai fait exactement l’inverse :
j’ai tiré tous les fils possibles — ceux des souvenirs, des archives, des récits oubliés — pour reconstituer une histoire familiale à la fois intime et universelle.
Dans cette aventure, le fil rouge, c’est lui : mon arrière-grand-père.
Un homme au parcours atypique, pupille de l’État devenu opticien-herboriste, dont j’ai voulu retracer la vie, les choix, les silences et les traces laissées derrière lui.
Mais en tirant ce fil, je me suis vite rendu compte que d’autres fils venaient s’y mêler :
Ce récit, c’est donc un tissu de mémoires, un entrelacs d’émotions, de documents d’archives, de suppositions aussi — parce que reconstituer le passé, c’est aussi accepter de broder un peu autour des zones d’ombre.
Avec ce livre, j’ai voulu créer du lien :
J’ai tiré les fils, mais vous êtes nombreux à en avoir attrapé un bout avec moi, en lisant, en partageant, en me faisant des retours. Et pour ça, je vous dis MERCI 💛
Le livre est là. Le fil est tendu, prêt à être déroulé.
Et si vous voulez découvrir cette histoire, ou simplement vous laisser porter par une enquête humaine et touchante, vous pouvez encore le commander ici :
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Partagez-le en commentaire, ou commencez à le tirer doucement… on ne sait jamais jusqu’où il peut vous mener. 😉
En avril, ne te découvre pas d’un fil ? Trop tard pour moi : je les ai tous tirés, et je n’en regrette aucun. 🧵📖✨
Le 6 juillet, c’est la Journée mondiale du baiser.
Un geste d’affection, de tendresse, parfois de réconciliation.
Et si on détournait un peu cette journée pour parler d’un autre geste chargé d’amour : l’écriture des histoires familiales ?
Parce que oui, écrire sur ses ancêtres, c’est aussi une forme de baiser.
Un baiser envoyé à travers le temps, un geste symbolique pour dire :
“Je ne t’ai pas connu·e, mais je pense à toi. Tu comptes encore.”
Lorsque j’ai écrit sur mon arrière-grand-père, Augustin, je n’imaginais pas à quel point cette démarche serait intime.
Raconter ses silences, marcher sur ses pas, reconstituer ce qu’il a vécu…
C’était comme le rejoindre un peu, là où il était, lui dire que je ne l’avais pas oublié.
Écrire, ce n’est pas seulement transmettre des faits ou poser des dates.
C’est poser un regard d’amour sur une vie, aussi modeste soit-elle.
C’est donner de la valeur à une existence souvent passée dans l’ombre.
Dans une époque où tout va vite, prendre le temps de raconter la vie d’un ancêtre, de l’imaginer enfant, adulte, vieillard, c’est une démarche profondément humaine.
C’est un acte de tendresse, de soin, de lien.
Comme un baiser discret déposé sur la joue d’un passé qu’on honore.
Vous aussi, vous avez sans doute un prénom dans votre arbre qui vous intrigue,
un silence qui vous questionne,
une photo qui vous touche.
Et si cette Journée du baiser devenait le moment parfait pour vous pencher sur cette personne et lui offrir un peu de votre plume et de votre cœur ?
Vous pourriez commencer par quelques lignes, une anecdote, une lettre…
Un simple baiser d’encre.
Mon livre, c’est ça au fond :
un long baiser au passé,
à cet homme dont je ne savais rien et que j’ai appris à aimer à travers les mots.
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Et si vous avez envie, vous aussi, d’écrire pour transmettre, pour relier, pour aimer…
Foncez. Vos mots ont ce pouvoir.
Honnêtement, je suis la première à avoir été touchée par l’accueil qu’a réservé ma famille à ce livre. Certains étaient un peu curieux, d’autres carrément impatients de découvrir ce que j’allais raconter sur nos ancêtres et notre histoire. Résultat : chacun y a trouvé quelque chose à apprendre ou à redécouvrir. Et pour moi, c’est la plus belle récompense.
Voir mes proches feuilleter les pages, sourire, s’étonner de tel détail ou poser des questions… ça a donné vie à ce que j’avais voulu transmettre : un livre qui relie, qui fait parler et qui ouvre des conversations parfois inattendues.
Je sais aussi que certains se sont demandé pourquoi j’avais choisi l’autoédition. Tout simplement parce que cela me permettait de garder la main sur chaque étape, de la maquette à la mise sous pli. Oui, j’ai tout fait moi-même : la rédaction, la mise en page, les envois… et c’était une expérience incroyablement enrichissante. 😊
Bien sûr, il y a quelques personnes modernes de la famille dont je n’ai pas donné beaucoup d’informations dans le livre (par respect de leur vie privée) : pour elles, j’ai pris soin de demander leur accord avant de publier. Et j’ai eu la chance d’avoir une famille qui m’a soutenue dans cette démarche d’écriture et d’autoédition.
Au final, je dirais que ce livre est bien plus qu’un simple ouvrage : c’est une transmission vivante, un moyen d’honorer notre histoire familiale et de la partager avec les générations futures. Je suis fière de l’avoir fait, et tellement reconnaissante d’avoir une famille qui a su m’encourager à aller jusqu’au bout.
Merci à eux, et merci à vous qui me lisez et me soutenez chaque jour. 💛
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Quelle belle aventure ! Depuis la publication de mon livre sur l’histoire familiale et la généalogie, il y a maintenant plus de 6 mois, je n’en reviens pas de voir combien vous êtes nombreux à le commander, à le lire et à m’en parler. ❤️
Je voulais prendre un moment pour vous dire merci. Oui, merci à chacun d’entre vous qui soutenez ce projet si personnel.
Quand j’ai décidé de me lancer dans l’écriture de ce livre, je n’avais aucune idée de ce que cela donnerait. J’ai fait tout, toute seule : la recherche, l’écriture, la mise en page, l’emballage, l’expédition… Je me suis même souvent retrouvée avec des piles de cartons autour de moi, à préparer chaque envoi avec soin.
Ce n’est pas un livre parfait, mais c’est un livre sincère, fait avec le cœur et la passion de transmettre. Et aujourd’hui, il continue à se vendre, semaine après semaine. Chaque commande me touche profondément : je me dis qu’il va atterrir dans une famille, sur une table de salon, et peut-être inspirer quelqu’un à raconter sa propre histoire.
Ce qui me rend encore plus heureuse, ce sont vos retours. Chaque fois que vous m’envoyez un message pour me dire ce que le livre vous a apporté, ce que vous avez ressenti, c’est un cadeau. C’est la plus belle récompense de tout ce travail.
J’ai réuni tous les témoignages que vous acceptez de partager publiquement sur une page spéciale :
👉 Page « Vos témoignages »
Je vous invite à la parcourir, c’est un concentré d’émotion et de belles histoires de famille.
Alors oui, mon livre continue de se vendre. Et chaque exemplaire qui part me rappelle pourquoi je l’ai écrit : pour que la mémoire familiale vive, pour que nos histoires ne tombent pas dans l’oubli, et pour que chacun puisse, à son tour, transmettre.
Encore un immense merci pour votre confiance, votre enthousiasme et vos encouragements. Vous êtes formidables. 💛
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📚 Mon livre est désormais à la BnF : une fierté inoubliable
Cela veut dire que mon histoire familiale, patiemment écrite, autoéditée, construite pas à pas, fait désormais partie du patrimoine écrit français.
Cela veut dire que, quelque part, dans les rayonnages de la plus grande bibliothèque du pays, se trouve un exemplaire de mon livre, à côté de milliers d’autres qui racontent, chacun à leur manière, une partie de notre Histoire commune.
Quand j’ai commencé à écrire ce livre, je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse un jour figurer dans une institution comme la BnF.
J’ai écrit pour partager une histoire intime, celle de mon arrière-grand-père, pour tisser des liens entre passé et présent, et pour donner vie à des fragments de mémoire.
Le fait que ce livre soit désormais référencé à la BnF, c’est pour moi :
✔️ Une reconnaissance symbolique du travail accompli
✔️ Une manière de dire que chaque histoire familiale compte
✔️ Un immense honneur, qui me donne envie de continuer à écrire et à partager
Si mon livre est arrivé jusque-là, c’est aussi grâce à vous :
📖 À vous qui m’avez soutenue
📝 À vous qui avez partagé vos retours bienveillants
💌 À vous qui avez cru en ce projet depuis le début
Il est toujours disponible à la vente, pour tous ceux qui veulent plonger dans une histoire de famille, entre enquête et mémoire, petite et grande Histoire.
👉 A découvrir ici à la BnF et à découvrir ici pour l’ajouter à ta bibliothèque
Merci de partager cette fierté avec moi !
Et souviens-toi : chaque histoire mérite d’être racontée… et chaque voix mérite d’être entendue. ✨
Quand on se lance dans l’écriture d’un livre de famille, on ne part pas avec un fil narratif clair et linéaire. On commence avec des bouts d’archives, des souvenirs flous, des récits fragmentés, parfois contradictoires, souvent incomplets.
Alors comment assembler tout ça sans perdre le lecteur ni soi-même ? Voici mes 3 techniques-clés pour relier des morceaux d’histoire épars et en faire un récit vivant et structuré.
Plutôt que d’organiser mon livre autour de simples dates ou d’une chronologie stricte, j’ai choisi de suivre une émotion dominante : la quête d’identité, le sentiment d’abandon, la résilience.
Dans mon cas, le fil rouge était Augustin, mon arrière-grand-père, pupille de l’État.
C’est à travers lui que j’ai traversé l’histoire, même quand certains éléments ne le concernaient pas directement.
Un acte de naissance de 1899, une photo de 1932, une fiche militaire de 1917… comment faire cohabiter tous ces éléments sans perdre le lecteur ?
J’ai choisi de créer des liens thématiques ou symboliques entre les documents.
Par exemple, un mot manuscrit sur une fiche peut ouvrir une réflexion plus large sur le contexte social ou sur un événement historique.
Chaque élément n’est pas juste “posé” : il est connecté à ce qui précède et à ce qui suit.
Pour ne pas alourdir le texte tout en apportant de la profondeur, j’ai alterné entre le récit personnel (avec mes questions, mes hypothèses, les descriptions) et des encadrés informatifs pour expliquer le contexte historique :
Ce rythme permet au lecteur de souffler, de comprendre, et surtout de situer la petite histoire dans la grande.
Un livre de famille n’est jamais une suite parfaite d’événements. C’est un collage délicat, un tissage de fragments qu’on relie avec du cœur, de l’intuition et beaucoup de respect.
Ces trois techniques m’ont permis de donner une cohérence à une matière brute, et surtout, de raconter une histoire vraie, incarnée, et lisible pour tous.
Tu veux un aperçu de ce que ça donne ? 📚
👉 Découvre mon livre ici : Livre Pupille
Et si toi aussi tu écris ton histoire familiale, n’hésite pas à partager tes propres astuces en commentaire !
Écrire une histoire familiale, c’est souvent plonger dans les archives, reconstituer des faits, deviner ce qui n’a pas été dit.
Mais parfois, pour aller plus loin, il faut sortir du papier et marcher sur la terre.
C’est ce que j’ai fait.
J’ai organisé plusieurs voyages pour suivre les traces d’Augustin, mon arrière-grand-père.
J’ai visité les lieux qu’il a traversés, observé les paysages qu’il a vus, ressenti l’ambiance des villages, des rues, des casernes, des campagnes…
J’ai aussi rencontré des personnes qui l’ont connu, ou qui ont connu ceux qui l’ont côtoyé.
Et là, tout a changé.
Jusque-là, Augustin était pour moi un nom dans les registres, une fiche matricule, un mystère à résoudre.
Mais marcher sur ses pas, voir ce qu’il a vu, entendre ce qu’il a peut-être entendu, a rendu son histoire plus réelle.
C’était comme si, au fil des kilomètres, il cessait d’être un personnage de papier pour devenir un homme.
Ces voyages m’ont offert ce que les archives ne peuvent pas toujours transmettre :
J’ai pu ajouter au livre des détails sensibles, des impressions, des connexions qui, sans ces marches, seraient restées abstraites.
En marchant dans ses pas, j’ai eu l’impression de me rapprocher de lui.
C’était un dialogue silencieux, entre passé et présent, entre lui et moi.
Ces voyages m’ont ancrée dans son histoire, et m’ont aidée à écrire non pas “sur” lui, mais presque “avec” lui.
Marcher dans les pas d’Augustin, c’était un peu marcher à ses côtés.
Et aujourd’hui, c’est ce qui donne à mon livre cette dimension intime et incarnée, que je n’aurais jamais pu créer uniquement derrière un écran.
Quand on pense « écrivaine », on imagine souvent quelqu’un penché sur son clavier, inspirée, un thé fumant à côté et les mots qui coulent comme par magie.
(Spoiler : c’est parfois vrai… mais seulement 2 % du temps 😅)
Le reste ? Eh bien, c’est tout un métier multifacette, surtout quand on choisit l’autoédition. Dans mon cas, je n’ai pas une équipe derrière moi… j’ai moi. Et ça donne ça 👇
C’est le cœur du projet. Écrire, relire, réécrire, couper, douter, recommencer…
Mon livre est né de cette envie profonde de transmettre l’histoire de mon arrière-grand-père, pupille de l’État, devenu opticien-herboriste.
Chaque mot, chaque chapitre est passé entre mes mains.
Impossible d’écrire un livre de famille sans plonger dans les registres d’état civil, les fiches matricules, les photos anciennes ou encore les documents poussiéreux oubliés dans un coin de mémoire.
J’ai passé des heures à dénicher des dates, croiser des pistes, comprendre des silences.
Couverture, schémas d’arbres généalogiques, encadrés thématiques…
J’ai créé toute la mise en page moi-même, en essayant de rendre le livre aussi lisible que beau.
Spoiler bis : maîtriser les marges dans un logiciel de mise en page, c’est une épreuve à part entière. 😅
Toutes les images du livre viennent de moi : documents d’archives numérisés, portraits de famille, détails visuels pour enrichir le récit.
Pas de banque d’image ici, juste du fait maison, comme une bonne recette de grand-mère.
Oui, j’ai corrigé mon texte. Plusieurs fois. Avec attention.
Mais la première impression a quand même vu quelques coquilles passer entre les mailles…
Heureusement, merci à vous (chers lecteurs bienveillants) de m’avoir aidée à corriger tout ça pour la deuxième édition !
Les livres, je les emballe moi-même.
Je fais la queue à La Poste, je colle les étiquettes, je remplis les bordereaux.
Bref, j’ai ajouté “préparatrice de commandes” à mon CV.
Tu es en train de lire ces lignes sur mon site ?
C’est moi qui l’ai conçu, mis en page, mis à jour, corrigé, décoré ! (Bon d’accord, développeur web, c’est mon « vrai métier » !)
Créer les visuels et écrire les posts du blog, répondre aux messages, partager les coulisses, gérer les commentaires…
C’est du temps, de l’énergie, mais c’est aussi un lien précieux avec vous.
Quand tu m’écris pour une question, une remarque, un problème de livraison, c’est moi qui te réponds.
Et j’aime beaucoup cet échange direct avec mes lecteurs.
Au final, je suis aussi (et surtout) la tête, le cœur et les tripes derrière ce livre.
Je doute, je stresse, je m’enthousiasme, je suis fière, je me relève.
Je crée. Et je le fais avec passion.
Même si je porte ce projet majoritairement seule, je ne suis jamais vraiment seule.
Autour de moi, il y a ma famille, mes amis, mes proches… Ceux qui lisent mes doutes entre les lignes, qui m’encouragent quand j’ai envie de tout arrêter, qui m’aident à y voir plus clair quand je suis dans le brouillard.
Ils me réconfortent, me tirent vers le haut, calment mes peurs, célèbrent les petites victoires comme les grandes.
Ce livre est le fruit de mon travail, oui, mais aussi de leur présence bienveillante dans l’ombre.
Sans eux, rien n’aurait eu la même saveur. 💛
Parce qu’au-delà du livre lui-même, il y a une aventure humaine, artisanale, et passionnée.
Être autrice indépendante, ce n’est pas juste publier un texte :
c’est tisser un lien direct avec les lecteurs, en toute transparence, et avec beaucoup de sincérité.
Alors si vous avez envie de découvrir le fruit de ce travail multicasquette, vous pouvez le faire ici :
📚 👉 Découvrir « Pupille »
Et si vous avez un jour envie de vous lancer dans l’écriture et l’autoédition, j’espère que ce témoignage vous donnera l’envie (et le courage) de foncer. 🚀
Le 23 avril, on célèbre la Journée mondiale du livre et du droit d’auteur. Une belle occasion pour parler d’un livre pas comme les autres : le vôtre.
Pas un roman de fiction, pas une autobiographie d’écrivain…
Un livre de famille, fait de souvenirs, de photos, de silences, d’actes d’état civil, de récits glanés au fil du temps.
Je suis convaincue d’une chose : vous avez une histoire à raconter. Et elle mérite d’être transmise.
On pense parfois qu’il faut être écrivain, historien ou archiviste pour oser écrire un livre de famille. C’est faux.
Vous avez déjà fait le plus dur : vous êtes allé(e) chercher vos racines. Vous avez peut-être écouté les anciens, lu des lettres, rassemblé des photos. Tout cela, c’est déjà de la matière vivante.
Et même si ce n’est pas « parfait », même si certains trous restent dans l’arbre, ce que vous transmettrez sera précieux.
Parce qu’au fond, un livre de famille, ce n’est pas une œuvre académique. C’est un cadeau. Un acte d’amour.
Quand je vous parle d’écrire, je ne vous parle pas de grandes envolées littéraires ou de mise en page façon roman historique.
Je vous parle de raconter simplement, avec vos mots à vous.
Ce que vos enfants, vos petits-enfants ou vos neveux retiendront, ce ne sont pas les dates impeccables ni les marges alignées au millimètre. Ce qu’ils retiendront, c’est la façon dont vous avez parlé de cette arrière-grand-mère courageuse. Ce que vous avez ressenti en découvrant une photo oubliée. Le lien que vous avez tissé entre les générations.
Et si vous ne savez pas comment commencer, voici ce que je vous conseille :
Pas besoin de logiciels compliqués. Ce qui compte, c’est d’avoir un espace pour écrire. Vous pouvez utiliser :
Le plus grand frein, c’est souvent d’oser. De se dire : « Qui suis-je pour écrire ça ? »
Vous êtes la bonne personne. Parce que vous portez cette mémoire. Parce que vous l’avez déjà commencé, ce livre, dans votre tête ou dans vos dossiers.
Alors aujourd’hui, en cette Journée mondiale du livre, je vous pose une question :
Et si c’était le bon moment pour écrire ce que vous avez à transmettre ?
C’est un livre imparfait. Mais c’est un livre sincère, écrit avec le cœur, pour garder une trace, pour transmettre.
Si cela vous parle, vous pouvez le découvrir ici : Découvrir le livre « Pupille »
Après des mois – parfois des années – de travail acharné, voilà enfin ce moment tant attendu : tenir son livre entre ses mains. Mais si vous pensez que c’est uniquement un moment de joie pure, détrompez-vous et laissez-moi vous raconter l’aventure des premières impressions de « Pupille ».
Aussi minutieux que l’on puisse être, une petite voix dans la tête murmure : « Et s’il y avait encore une coquille cachée ? » Une faute de frappe discrète, un mot oublié, un détail mal aligné… On a beau relire encore et encore, on finit par se demander si on n’est pas devenu légèrement parano. Spoiler alert : il reste des coquilles !
Repasser sur chaque page, chaque paragraphe, chaque ligne… C’est comme réviser pour un examen, sauf qu’ici, c’est votre âme que vous avez mise sur papier. Et croyez-moi, quand vous avez déjà lu votre propre texte 50 fois, même les phrases les plus géniales commencent à ressembler à du charabia.
Le stress de voir son « bébé » prendre son envol peut rendre… légèrement nerveux. Traduction : votre entourage risque d’en payer le prix. Des remarques soudaines, des doutes exprimés à voix haute, et ce classique : « Tu crois vraiment que ça va plaire ? » Heureusement, ils sont là pour nous rassurer (et tolérer nos excès de perfectionnisme).
Mais voilà le moment magique : ouvrir le colis, sortir le livre et sentir son odeur d’impression fraîche. C’est LA récompense de tout ce travail. Une sensation de délivrance, de fierté, et surtout, un énorme « ouf » de soulagement. Vous l’avez fait. C’est là, tangible, réel, votre livre existe.
Écrire un livre, c’est comme courir un marathon émotionnel. Du stress, des doutes, mais aussi une immense satisfaction. Et au-delà de tout ça, ce que je retiens, c’est l’espoir que ce projet touche des gens, les inspire, et les pousse à explorer leur propre histoire.
Si vous vous lancez un jour dans cette aventure, préparez-vous : c’est intense, mais ça vaut chaque effort. Et si ce livre tombe un jour entre vos mains, sachez qu’il a été conçu avec amour, passion, et un peu de sueur. 💌
Alors, à tous ceux qui rêvent d’écrire ou de découvrir leur histoire, n’oubliez jamais : chaque aventure commence par une première page. 📖✨