🗓️ À l’occasion de la Journée internationale de la jeunesse – 12 août
Ils s’appelaient « enfants abandonnés », « enfants assistés », « pupilles de l’État ».
Dans les archives, ils sont souvent réduits à quelques lignes administratives, à une mention froide dans une marge, à une identité en pointillé.
Mon arrière-grand-père était l’un d’eux.
Pour redonner un visage à l’enfant invisible, pour donner une voix à celui dont le début de vie a été effacé, tu.
Mais aussi pour raconter ce que cela laisse, des générations plus tard : des silences dans la mémoire, des questions sans réponse, des manques que l’on ne comprend qu’en creusant l’histoire.
Ce que j’ai découvert au fil de mes recherches, c’est qu’on peut faire parler les archives, même celles qui murmurent à peine.
Et que chaque fragment peut devenir un récit, si on prend le temps de l’écouter.
Écrire sur Augustin, c’était une façon de dire :
“Tu as compté. Ton histoire vaut la peine d’être racontée.”
En cette Journée internationale de la jeunesse, je veux rappeler que certains jeunes n’ont jamais eu l’occasion de laisser une trace.
Mais que nous, aujourd’hui, nous pouvons choisir de les faire revivre à travers les mots.
👉 Mon livre est une manière de réparer un peu ce silence. À découvrir dans la boutique
Avant les pharmacies d’angle et les prescriptions informatisées, il y avait les herbiers de grand-mère, les tisanes de l’arrière-tante, les petits secrets glanés au fil des générations…
Dans mon livre, je rends hommage à cette tradition discrète mais précieuse :
celle des herboristes, des guérisseuses, des amateurs de simples – ces plantes médicinales qu’on cultivait dans les jardins ou qu’on allait cueillir au bord des chemins.
🌱 Mon arrière-grand-père, Augustin, était opticien… et herboriste.
Oui, les deux à la fois ! Une double casquette peu commune, reflet d’un temps où science et savoir populaire cohabitaient.
Dans mon enquête, j’ai retrouvé ses traces… et celles de tout un patrimoine de soins naturels et de remèdes oubliés.
Parce que ces gestes du quotidien – infusions, cataplasmes, recettes de sirops – étaient des savoirs précieux souvent transmis oralement… et trop rarement notés.
Parce que nos ancêtres soignaient avec ce qu’ils avaient sous la main, avec bon sens, observation, intuition.
Et parce que ces savoirs font aussi partie de notre histoire familiale, au même titre que les dates et les noms.
📖 Si ces récits résonnent en vous,
si vous avez des souvenirs d’armoires à plantes, de cueillettes ou de carnets de remèdes…
alors vous trouverez sûrement une résonance dans les pages de mon livre.
Oui. Parce que l’écriture, c’est la suite naturelle de mes recherches.
Quand j’ai terminé mon premier livre, je pensais avoir fait un tour d’horizon.
Un chapitre de ma vie était bouclé.
Mais en réalité… l’histoire n’était pas finie.
Elle venait à peine de commencer.
Écrire sur mon arrière-grand-père, Augustin, m’a permis de mettre en lumière une vie longtemps restée dans l’ombre.
Mais en creusant, en fouillant, en explorant les archives… j’ai soulevé d’autres questions.
J’ai croisé d’autres noms, d’autres histoires, d’autres silences.
Et je me rends compte que chaque réponse ouvre une nouvelle porte.
Mon arbre généalogique n’est pas figé : c’est un labyrinthe vivant.
Et maintenant que j’ai découvert la puissance de l’écriture, je n’ai plus envie de m’arrêter là.
Ce deuxième livre, je ne sais pas encore exactement à quoi il ressemblera.
Mais je sais déjà ce qu’il portera :
Écrire, pour moi, c’est donner du sens à mes découvertes.
C’est transformer des actes de naissance en émotions.
C’est relier les documents, les contextes, les trajectoires… à mon histoire personnelle.
Je suis dans cette phase délicieuse où l’on explore, on devine, on collecte.
J’observe les branches qui m’appellent, je teste des pistes, je note des idées.
Et je le dis sans pression :
oui, il y aura un second livre.
Parce que j’ai encore des choses à dire, des histoires à faire entendre,
et cette envie tenace de continuer à tisser des liens entre générations.
👉 En attendant, vous pouvez toujours découvrir mon premier livre ici
Et si vous aussi, vous ressentez cet appel à écrire votre histoire familiale : suivez-le.
Vous ne savez jamais où il peut vous mener… 😉
Le 6 juillet, c’est la Journée mondiale du baiser.
Un geste d’affection, de tendresse, parfois de réconciliation.
Et si on détournait un peu cette journée pour parler d’un autre geste chargé d’amour : l’écriture des histoires familiales ?
Parce que oui, écrire sur ses ancêtres, c’est aussi une forme de baiser.
Un baiser envoyé à travers le temps, un geste symbolique pour dire :
“Je ne t’ai pas connu·e, mais je pense à toi. Tu comptes encore.”
Lorsque j’ai écrit sur mon arrière-grand-père, Augustin, je n’imaginais pas à quel point cette démarche serait intime.
Raconter ses silences, marcher sur ses pas, reconstituer ce qu’il a vécu…
C’était comme le rejoindre un peu, là où il était, lui dire que je ne l’avais pas oublié.
Écrire, ce n’est pas seulement transmettre des faits ou poser des dates.
C’est poser un regard d’amour sur une vie, aussi modeste soit-elle.
C’est donner de la valeur à une existence souvent passée dans l’ombre.
Dans une époque où tout va vite, prendre le temps de raconter la vie d’un ancêtre, de l’imaginer enfant, adulte, vieillard, c’est une démarche profondément humaine.
C’est un acte de tendresse, de soin, de lien.
Comme un baiser discret déposé sur la joue d’un passé qu’on honore.
Vous aussi, vous avez sans doute un prénom dans votre arbre qui vous intrigue,
un silence qui vous questionne,
une photo qui vous touche.
Et si cette Journée du baiser devenait le moment parfait pour vous pencher sur cette personne et lui offrir un peu de votre plume et de votre cœur ?
Vous pourriez commencer par quelques lignes, une anecdote, une lettre…
Un simple baiser d’encre.
Mon livre, c’est ça au fond :
un long baiser au passé,
à cet homme dont je ne savais rien et que j’ai appris à aimer à travers les mots.
👉 Il est disponible ici : Acheter Pupille
Et si vous avez envie, vous aussi, d’écrire pour transmettre, pour relier, pour aimer…
Foncez. Vos mots ont ce pouvoir.
Quand j’ai commencé mes recherches généalogiques, je n’avais aucune intention d’écrire un livre. Et pourtant, aujourd’hui, mon histoire familiale est couchée sur le papier, avec un nom en fil rouge : Augustin, mon arrière-grand-père.
Mais pourquoi lui ?
Pourquoi ce personnage, oublié des conversations familiales, presque effacé de la mémoire collective ?
Parce que je ne savais rien de lui.
Et c’est précisément ce vide qui a tout déclenché.
Aucun souvenir transmis.
Pas de récits, pas de gestes hérités, pas même une photo familière.
Juste un nom, quelques dates, et un flou total.
C’est cette absence de récit, cette zone blanche dans mon arbre généalogique, qui a éveillé en moi une immense curiosité.
Je me suis lancée dans les recherches, un peu au hasard, puis de plus en plus intensément.
Actes de naissance, fiches matricules, archives départementales…
Petit à petit, des morceaux de vie sont apparus, et avec eux des émotions, des surprises, des contradictions.
Et plus je trouvais, plus j’avais envie de comprendre, de relier les fils, d’honorer cette vie qu’on n’avait jamais racontée.
À un moment, ce n’était plus suffisant de garder ça pour moi.
Je voulais le transmettre, le raconter, le faire exister à travers les mots.
Et en racontant son histoire, j’ai compris que je racontais aussi un peu la mienne :
ma quête, mes émotions, mes héritages invisibles.
Écrire ce livre, c’était créer une passerelle entre les générations.
C’était donner une voix à quelqu’un qui n’en avait jamais eu, et par là même, affirmer la mienne.
Mon livre n’est pas un roman.
C’est une enquête familiale, une reconstruction mémorielle, un travail d’amour et de curiosité.
Je ne suis ni historienne, ni écrivaine de métier.
Mais je suis une descendante qui avait besoin de comprendre d’où elle venait.
Et c’est ce besoin qui m’a menée jusqu’ici.
Mon livre est disponible ici 👉 « Livre Pupille »
Et si vous aussi vous sentez ce petit appel intérieur à raconter vos racines : n’attendez pas.
Chaque vie mérite d’être racontée.
Même (et surtout) celles qu’on croyait oubliées.
Après des mois – parfois des années – de travail acharné, voilà enfin ce moment tant attendu : tenir son livre entre ses mains. Mais si vous pensez que c’est uniquement un moment de joie pure, détrompez-vous et laissez-moi vous raconter l’aventure des premières impressions de « Pupille ».
Aussi minutieux que l’on puisse être, une petite voix dans la tête murmure : « Et s’il y avait encore une coquille cachée ? » Une faute de frappe discrète, un mot oublié, un détail mal aligné… On a beau relire encore et encore, on finit par se demander si on n’est pas devenu légèrement parano. Spoiler alert : il reste des coquilles !
Repasser sur chaque page, chaque paragraphe, chaque ligne… C’est comme réviser pour un examen, sauf qu’ici, c’est votre âme que vous avez mise sur papier. Et croyez-moi, quand vous avez déjà lu votre propre texte 50 fois, même les phrases les plus géniales commencent à ressembler à du charabia.
Le stress de voir son « bébé » prendre son envol peut rendre… légèrement nerveux. Traduction : votre entourage risque d’en payer le prix. Des remarques soudaines, des doutes exprimés à voix haute, et ce classique : « Tu crois vraiment que ça va plaire ? » Heureusement, ils sont là pour nous rassurer (et tolérer nos excès de perfectionnisme).
Mais voilà le moment magique : ouvrir le colis, sortir le livre et sentir son odeur d’impression fraîche. C’est LA récompense de tout ce travail. Une sensation de délivrance, de fierté, et surtout, un énorme « ouf » de soulagement. Vous l’avez fait. C’est là, tangible, réel, votre livre existe.
Écrire un livre, c’est comme courir un marathon émotionnel. Du stress, des doutes, mais aussi une immense satisfaction. Et au-delà de tout ça, ce que je retiens, c’est l’espoir que ce projet touche des gens, les inspire, et les pousse à explorer leur propre histoire.
Si vous vous lancez un jour dans cette aventure, préparez-vous : c’est intense, mais ça vaut chaque effort. Et si ce livre tombe un jour entre vos mains, sachez qu’il a été conçu avec amour, passion, et un peu de sueur. 💌
Alors, à tous ceux qui rêvent d’écrire ou de découvrir leur histoire, n’oubliez jamais : chaque aventure commence par une première page. 📖✨
Quelle belle aventure ! Depuis la publication de mon livre sur l’histoire familiale et la généalogie, il y a maintenant plus de 6 mois, je n’en reviens pas de voir combien vous êtes nombreux à le commander, à le lire et à m’en parler. ❤️
Je voulais prendre un moment pour vous dire merci. Oui, merci à chacun d’entre vous qui soutenez ce projet si personnel.
Quand j’ai décidé de me lancer dans l’écriture de ce livre, je n’avais aucune idée de ce que cela donnerait. J’ai fait tout, toute seule : la recherche, l’écriture, la mise en page, l’emballage, l’expédition… Je me suis même souvent retrouvée avec des piles de cartons autour de moi, à préparer chaque envoi avec soin.
Ce n’est pas un livre parfait, mais c’est un livre sincère, fait avec le cœur et la passion de transmettre. Et aujourd’hui, il continue à se vendre, semaine après semaine. Chaque commande me touche profondément : je me dis qu’il va atterrir dans une famille, sur une table de salon, et peut-être inspirer quelqu’un à raconter sa propre histoire.
Ce qui me rend encore plus heureuse, ce sont vos retours. Chaque fois que vous m’envoyez un message pour me dire ce que le livre vous a apporté, ce que vous avez ressenti, c’est un cadeau. C’est la plus belle récompense de tout ce travail.
J’ai réuni tous les témoignages que vous acceptez de partager publiquement sur une page spéciale :
👉 Page « Vos témoignages »
Je vous invite à la parcourir, c’est un concentré d’émotion et de belles histoires de famille.
Alors oui, mon livre continue de se vendre. Et chaque exemplaire qui part me rappelle pourquoi je l’ai écrit : pour que la mémoire familiale vive, pour que nos histoires ne tombent pas dans l’oubli, et pour que chacun puisse, à son tour, transmettre.
Encore un immense merci pour votre confiance, votre enthousiasme et vos encouragements. Vous êtes formidables. 💛
📘 Mon livre est toujours disponible ici : acheter Pupille
📚 Mon livre est désormais à la BnF : une fierté inoubliable
Cela veut dire que mon histoire familiale, patiemment écrite, autoéditée, construite pas à pas, fait désormais partie du patrimoine écrit français.
Cela veut dire que, quelque part, dans les rayonnages de la plus grande bibliothèque du pays, se trouve un exemplaire de mon livre, à côté de milliers d’autres qui racontent, chacun à leur manière, une partie de notre Histoire commune.
Quand j’ai commencé à écrire ce livre, je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse un jour figurer dans une institution comme la BnF.
J’ai écrit pour partager une histoire intime, celle de mon arrière-grand-père, pour tisser des liens entre passé et présent, et pour donner vie à des fragments de mémoire.
Le fait que ce livre soit désormais référencé à la BnF, c’est pour moi :
✔️ Une reconnaissance symbolique du travail accompli
✔️ Une manière de dire que chaque histoire familiale compte
✔️ Un immense honneur, qui me donne envie de continuer à écrire et à partager
Si mon livre est arrivé jusque-là, c’est aussi grâce à vous :
📖 À vous qui m’avez soutenue
📝 À vous qui avez partagé vos retours bienveillants
💌 À vous qui avez cru en ce projet depuis le début
Il est toujours disponible à la vente, pour tous ceux qui veulent plonger dans une histoire de famille, entre enquête et mémoire, petite et grande Histoire.
👉 A découvrir ici à la BnF et à découvrir ici pour l’ajouter à ta bibliothèque
Merci de partager cette fierté avec moi !
Et souviens-toi : chaque histoire mérite d’être racontée… et chaque voix mérite d’être entendue. ✨
Quand on se lance dans l’écriture d’un livre de famille, on ne part pas avec un fil narratif clair et linéaire. On commence avec des bouts d’archives, des souvenirs flous, des récits fragmentés, parfois contradictoires, souvent incomplets.
Alors comment assembler tout ça sans perdre le lecteur ni soi-même ? Voici mes 3 techniques-clés pour relier des morceaux d’histoire épars et en faire un récit vivant et structuré.
Plutôt que d’organiser mon livre autour de simples dates ou d’une chronologie stricte, j’ai choisi de suivre une émotion dominante : la quête d’identité, le sentiment d’abandon, la résilience.
Dans mon cas, le fil rouge était Augustin, mon arrière-grand-père, pupille de l’État.
C’est à travers lui que j’ai traversé l’histoire, même quand certains éléments ne le concernaient pas directement.
Un acte de naissance de 1899, une photo de 1932, une fiche militaire de 1917… comment faire cohabiter tous ces éléments sans perdre le lecteur ?
J’ai choisi de créer des liens thématiques ou symboliques entre les documents.
Par exemple, un mot manuscrit sur une fiche peut ouvrir une réflexion plus large sur le contexte social ou sur un événement historique.
Chaque élément n’est pas juste “posé” : il est connecté à ce qui précède et à ce qui suit.
Pour ne pas alourdir le texte tout en apportant de la profondeur, j’ai alterné entre le récit personnel (avec mes questions, mes hypothèses, les descriptions) et des encadrés informatifs pour expliquer le contexte historique :
Ce rythme permet au lecteur de souffler, de comprendre, et surtout de situer la petite histoire dans la grande.
Un livre de famille n’est jamais une suite parfaite d’événements. C’est un collage délicat, un tissage de fragments qu’on relie avec du cœur, de l’intuition et beaucoup de respect.
Ces trois techniques m’ont permis de donner une cohérence à une matière brute, et surtout, de raconter une histoire vraie, incarnée, et lisible pour tous.
Tu veux un aperçu de ce que ça donne ? 📚
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Et si toi aussi tu écris ton histoire familiale, n’hésite pas à partager tes propres astuces en commentaire !
Écrire une histoire familiale, c’est souvent plonger dans les archives, reconstituer des faits, deviner ce qui n’a pas été dit.
Mais parfois, pour aller plus loin, il faut sortir du papier et marcher sur la terre.
C’est ce que j’ai fait.
J’ai organisé plusieurs voyages pour suivre les traces d’Augustin, mon arrière-grand-père.
J’ai visité les lieux qu’il a traversés, observé les paysages qu’il a vus, ressenti l’ambiance des villages, des rues, des casernes, des campagnes…
J’ai aussi rencontré des personnes qui l’ont connu, ou qui ont connu ceux qui l’ont côtoyé.
Et là, tout a changé.
Jusque-là, Augustin était pour moi un nom dans les registres, une fiche matricule, un mystère à résoudre.
Mais marcher sur ses pas, voir ce qu’il a vu, entendre ce qu’il a peut-être entendu, a rendu son histoire plus réelle.
C’était comme si, au fil des kilomètres, il cessait d’être un personnage de papier pour devenir un homme.
Ces voyages m’ont offert ce que les archives ne peuvent pas toujours transmettre :
J’ai pu ajouter au livre des détails sensibles, des impressions, des connexions qui, sans ces marches, seraient restées abstraites.
En marchant dans ses pas, j’ai eu l’impression de me rapprocher de lui.
C’était un dialogue silencieux, entre passé et présent, entre lui et moi.
Ces voyages m’ont ancrée dans son histoire, et m’ont aidée à écrire non pas “sur” lui, mais presque “avec” lui.
Marcher dans les pas d’Augustin, c’était un peu marcher à ses côtés.
Et aujourd’hui, c’est ce qui donne à mon livre cette dimension intime et incarnée, que je n’aurais jamais pu créer uniquement derrière un écran.